Est-ce qu'ils prévoient de faire un enfant ? Cette hypothèse est tout à fait possible, ça fait quand même quelques années qu'ils sont ensemble maintenant. C'est de toute évidence la suite logique de leur relation. Ça ou le mariage d'ailleurs. L'un ou l'autre. Mais il y a quelque chose qui m'échappe. Si c'était vraiment le cas, pourquoi mon frère ne m'en a-t-il encore jamais parlé ? Nous sommes très proches lui et moi, et c'est tout de même un sujet important. Le souhait de fonder une famille n'arrive pas comme ça du jour au lendemain. Enfin je sais pas, cette idée me laisse comme un arrière goût étrange. Je devrais plutôt m'en réjouir, Thaïs aussi, alors pourquoi je sens comme un léger malaise depuis que je suis arrivée dans son bureau ? Je ne peux m'empêcher, inconsciemment, de repenser à ce foutu rêve érotique que j'ai fait il y a quelques temps. Oui, j'ai rêvé de ma belle-sœur. Et je ne sais pas trop comment je dois l'interpréter. J'avais tellement l'impression que le rêve était réel... c'était vraiment trop bizarre. Intense aussi. Est-ce que les rêves ont-ils toujours une signification ? Comme une part de vérité ou un souhait peut-être inavoué ? Non, impossible. Je n'ai jamais été attirée par les filles. Encore moins par ma belle-sœur, non mais franchement. Et pourtant, je crois que ce rêve ne m'a pas laissé indifférente. « Ce n’est pas dans nos plans. » J'arque un sourcil sans trop comprendre, sans détacher mon regard de ma belle-sœur. « Ce n’était pas dans nos plans. » Ah oui... la nuance est importante. Ok, elle est bel et bien enceinte. Mais à ce que je comprends, c'était un accident. C'est en tout cas pas ce qui était au programme. « J’ai dévalisé toutes les pharmacies de la ville. Je n’arrivais pas à croire que ces tests étaient positifs. » Je ne peux m'empêcher de grimacer, légèrement, en repensant moi-même à mon passé. Au moment où j'ai compris que le test était positif, cet instant même où ma vie d'adolescente a basculé. « N’en parle pas à ton frère, s’il te plaît. » Alors il n'est pas au courant... ceci explique cela. « Mais... » Je bloque quelques secondes avant de reprendre. « Pourquoi tu ne lui en as pas encore parlé ? » Elle n'a vraiment pas l'air emballée par cette nouvelle. Pourtant, avoir un enfant est peut-être là le plus beau cadeau que la nature peut nous donner. Je crois qu'il y aura toujours une partie de moi qui regrettera amèrement d'avoir mis un terme à ma grossesse. Même si les circonstances étaient évidemment bien différentes. J'avais seize ans, et c'était ma première fois. Un connard fini qui n'a rien trouvé de mieux à faire que de se servir de moi. « Tu ne veux pas d'enfants ? » C'est un sujet que je n'ai encore jamais abordé avec elle. Mais c'est la première raison évidente qui me vient en tête à cet instant. Quoi d'autre ?
Il suffit d'un seul coup de téléphone pour que le début de ma journée au travail devienne chaotique. Une mauvaise nouvelle vient de tomber sur le coin du nez de l'agence. Les préparatifs d'une soirée caritative, un des plus grands événements sportifs de l'année dont nous avons toujours eu la responsabilité, sont en train de tomber à l'eau. Et c'est littéralement le cas de le dire d'ailleurs. La salle qui devait nous accueillir ce soir-là vient de subir un important dégât des eaux, ce qui la rend complètement inutilisable. Et la soirée est dans moins de deux semaines... Mais je ne veux pas céder à la panique, et préfère rapidement réagir pour trouver une solution. C'est le plus important dans ce genre de situation ; savoir réagir vite pour être efficace et ne surtout pas se laisser envahir par le stress. Finalement, après quelques recherches, quelques appels auprès de différents partenaires, je réussis à trouver une salle de substitution qui sera tout aussi bien pour accueillir cet événement. Ni vu ni connu, le problème est déjà réglé. Il y aura des ajustements à faire, les invitations à modifier, mais le plus important est déjà derrière moi. Même si je me dois quand même de prévenir et faire valider cette nouvelle option par ma responsable, qui n'est autre que ma belle-soeur, Thaïs. Je débarque en furie dans son bureau, plutôt fière de moi. Depuis que je travaille ici, à l'agence, et avec elle, je me sens vraiment dans mon élément. Elle me fait confiance, et c'est ce qui me pousse tous les jours à me surpasser plus encore. La scène qui se joue sous mes yeux quand j'arrive est pour le moins surprenante. Je surprends la jeune femme avec un coussin sous le ventre qu'elle s'empresse rapidement de cacher à mon arrivée. « Athena.. je ne t’ai pas entendu arriver.. » La brune ne sait plus vraiment où se mettre, et je peux sentir toute sa gêne se lire sur son visage. « Ça fait longtemps que tu es ici ? » Je grimace légèrement en penchant la tête sur le côté. « Suffisamment longtemps oui... » Un sous-entendu pour lui faire comprendre que j'ai effectivement bien eu le temps de voir la scène. « Qu'est-ce que tu foutais avec ce coussin ? » Je ne comprends pas tout de suite de quoi il s'agit. Enfin si, je me doute qu'elle n'a pas foutu ce coussin sur son ventre juste pour faire joli. Mais ça peut simplement représenter une envie future de sa part ou un projet qu'elle a avec Samuel tout récemment. C'est généralement le genre d’événement qu'on prévoit à deux en avance et non sur un coup de tête. « Vous prévoyez de faire un bébé dans mon dos ? » Je ris un peu faisant mine d'être choquée avant d'ajouter. « C'est pas cool de ne pas prévenir la future tata. » Pourquoi ça me fait bizarre de savoir qu'ils ont envie de faire un enfant et de fonder une famille tous les deux ? Je sais pas, c'est étrange mais y'a un truc qui me bloque. Je m'attendais peut-être pas à ce que les choses aillent aussi vite entre eux... Je vois le visage de ma belle-sœur se décomposer juste devant moi, et je n'arrive pas à comprendre pourquoi. Est-ce que j'ai fait ou dit une connerie ?
Ares Antonio Murillo44 ans ○ artiste peintre ○ en relation virtuelle ○ homosexuelHistoire. #1 Et si on commençait par ses origines ? Il vient d'une longue tradition de Murillo qui remontent le continent Américain pour toujours aller dans un pays où il fait plus froid que le précédent, pour finir par la génération de son père, qui a décidé que se geler les parties au Canada était une bonne idée. Tout ce qu'il sait, c'est qu'à la base, ils venaient d'Argentine, mais le sang s'est tellement mélangé, autant que les nationalité, qu'il en perd, parfois son espagnol. #2 Ses parents sont tous les deux militaires de carrière, et c'est d'ailleurs un miracle qu'ils soient tous les deux encore avec tous leurs membres. C'est dans une base qu'ils se sont rencontrés, c'est dans une base qu'ils se sont mariés, c'est dans une base qu'est né leur fils... et c'est dans une base qu'ils aimeraient finir leurs jours, mais la retraite ayant sonné depuis un moment, c'est dans une petite maison de campagne à quelques kilomètres d'Ontario qu'ils occupent leurs vieux jours, affichant partout leurs souvenirs et leurs médailles diverses. #3 Et c'est bien parce que son père avait dans le but de faire suivre ce début de tradition à son fils qu'il a insisté pour le nommer Ares, à l'image du dieu Antique de la Guerre (et de la Destruction, mais cette partie là, Mr Murillo l'a ignoré volontairement). Il a toujours rêvé de voir leur enfant continuer de servir leur pays, de le voir monter les grades, de lui transmettre tout ce qu'il savait... Quelle ne fut pas sa déception de le voir plutôt se tourner vers l'art, et en plus développer un véritable talent dans ce domaine. Le père Murillo a bel et bien essayé de raccrocher son fils à sa propre passion, l'envoyant faire des stages, des camps divers, lui imposant même parfois des séances d'entraînements. Ce qui ne fait que creuser un peu plus le fossé qui s'élargissait déjà avec les années entre le père et le fils. #4 Habitué au changement de vie, de villes, de nouvelles écoles et de nouveaux amis avec les différentes bases dans lesquelles ses parents ont été envoyé, Ares n'a jamais eu trop de mal à s'habituer aux déménagements, s'amusant même bien plus souvent avec les cartons avant et après les départs. Ceci dit, ces déménagements à répétitions lui ont toujours donné le sentiment de ne jamais se sentir vraiment chez lui quand ils se posaient quelque part, un sentiment qui l'habite encore toujours aujourd'hui. #5 Ares s'est intéressé à la peinture, et à l'art en général très tôt, et ce bien avant que l'école de l’emmène pour la première fois dans une musée, il ne voulait même plus retourner dans le bus. Bien plus que le dessin, la peinture l'emportait sur tous les points, et surtout, parce qu'on pouvait la mettre absolument partout. Ah oui, il fait parti de ces sales gosses qui ne peint pas seulement sur les feuilles blanches sur son petit bureau en plastique, non, non, toutes les surfaces possibles et imaginables sont passées sous ses petits doigts et ses pinceaux d'enfant. Mais si ça n'avait été que quand il était enfant... Non ! Ares, quel que soit son âge, ne pouvait s'empêcher de décorer lui-même ses chambres, sans vraiment prendre l'aval de ses parents au préalable, et surtout dans son propre style, ce qui, bien évidemment, n'était pas à leur goût. #6 Sa relation avec ses parents est un beau bordel. S'il est du commun que le père et le fils ont vraiment beaucoup de mal à s'entendre, à commencer par le fait que le rejeton n'a rien pris du bon côté des militaires, et encore moins des bons exemples, peu de gens savent que c'est tout aussi chaotique pour ses rapports avec sa mère. Il aime sa mère, autant qu'elle l'insupporte, il lui envoie des fleurs comme il peut l'ignorer pendant des semaines et ne répondre à aucun de ses appels. Sans doute parce qu'elle a toujours eu tendance à prendre le parti de son père quand il était petit, tout en enfreignant elle-même les punitions pour lui apporter une part de pizza en secret. Mais au fond, Ares aime ses parents. Quand ils sont loin. #7 C'est à Toronto qu'il a posé ses valises et cartons pour une durée indéterminée il y a une presque quinze ans de cela... mais parce la vie l'y a porté. Et l'amour tout particulièrement. Incapable de se poser vraiment quelque part, toujours à cause de ce sentiment de ne pas être chez lui, c'est grâce à une rencontre, à un homme. Qui ne vivait pas encore à Toronto mais qui projetait d'y aller, de s'y installer. Il l'a suivi, ne songeant de toute façon qu'à cette vie qui s'offrait à eux, peu importe où son cœur l'emportait. Mais il est vrai qu'au fil des années, il a fini par s'y sentir bien, à y faire ses petites habitudes, à poser sa patte artistique un peu partout en ville. Et encore actuellement alors que l'homme est devenu son ex-compagnon. Après tout, ne dit-on pas que la maison, c'est là où est son cœur ? #8 Avant de devenir un artiste à plein temps, Ares a fait naturellement l'école des Beaux-Arts à Montréal, mais tardivement. C'est à l'ouverture de cette école, âgé de 24 ans qu'il s'est véritablement lancé dans l'idée de vivre de sa passion. Avant cela, il a surtout fait beaucoup de boulot facile d'accès, serveur dans des restaurants et des bars, et même barman quand il a été en âge de faire joujou avec l'alcool. Naturellement, son père n'a pas été très enchanté par ce choix de carrière, ne l'encourageant que moyennement. Pour tenter de joindre les de bouts, il a longtemps cumulé les boulots de professeur de peinture et barman, jusqu'à ce qu'on s'intéresse à ses œuvres, et qu'il puisse enfin ne vivre que pour cela. #9 Ses enfants ne sont, biologiquement pas les siens. Son aînée, Carrie, est la fille de son ex-compagnon, qu'il a eu avec une femme qui les a ensuite abandonné tous les deux, bref une histoire compliquée. La petite avait tout juste quatre mois quand il a connu son ex-compagnon, il l'a pour ainsi dire élevé comme la sienne, et dès qu'il l'a pu, l'a adopter pour de bon. Quand bien même cela coïncida avec sa séparation. Le couple a également eut un petit garçon, conçu in vitro et grâce à une mère porteuse, envers qui Ares continue de se sentir redevable. Et ses enfants sont actuellement le centre de son monde. Il s'est battu pour pouvoir obtenir une garde partagée avec son ex-compagnon, tout en essayant de garder de bons rapports avec ce dernier, sachant pertinemment que c'est ce dernier qui pourrait bien récupérer leur garde s'ils venaient à entrer dans une guerre froide. #10 Pas forcément l'homme le plus connecté du monde, Ares utilise de plus en plus les nouvelles technologies, que ce soit pour ses œuvres et les faire connaître, ou dans le quotidien. Et surtout parce qu'il s'est rendu compte que grâce à son téléphone, il pouvait avoir accès à tellement de choses, aussi bien au niveau de la musique que des films et séries, ou de visite virtuelle de musée, de possibilité de voyage et tant d'autres choses ! Sans oublier évidemment, une énorme facilité à trouver les jouets introuvables que son fils souhaite. Il découvre chaque semaine de nouvelles applications, qu'il fini par oublier, se lance dans de nombreuses nouvelles activités accessibles par application sans arriver à les tenir plus d'une semaine (oui, oui, c'est à vous qu'on parle le footing, le yoga et la méditation). #11 Il a une allergie que tout parent souhaiterait avoir : l'allergie aux poils et aux plumes. Il ne peut pas rester en présence de la moindre bête à plumes ou à poils sans se mettre à éternuer, et bruyamment en plus. Et comme il ne supporte pas la vue des reptiles ou tout ce qui peut avoir des écailles, au plus grand désespoir de ses enfants, les seules animaux de compagnie qu'il y a chez lui sont virtuels et sur un petit écran. Qui finissent d'ailleurs par être oubliés aussi vite que ses résolutions sportives. #12 On ne dirait pas comme ça, mais Ares aime beaucoup les tatouages. Il en a déjà dessiné pour des amis, parfois des très simples, parfois des copies miniatures de ses œuvres. Mais à l'inverse, il préfère laisser les artistes s'exprimer sur sa peau. Bon, il n'en a pas beaucoup, et des petits, mais sa seule directive étant la signification de ce qu'il veut avoir sur la peau, il laisse libre interprétation aux tatoueurs. Il en a trois, seulement, un pour chacun de ses enfants, son aînée sur la main gauche, son fils à l'intérieur du poignet droit et une petite cible monochrome au milieu du dos. La signification de ce tatouage-là ? Il en garde le secret.HeadcanonA la recherche de tout et n'importe quoi comme lien, peut-être l'ex, des clients chez qui il a bossé, d'autres parents, des amis, des emmerdes, je suis totalement à votre écoute RP en cours ○ Titre du rp feat. Prénom Nom
RP abandonnés ○ Titre du rp feat. Prénom NomInformationsIDENTIFICATION COMPLÈTE Son nom complet est Ares Antonio Murillo, mais soyons honnête, il n'utilise jamais son second prénom, le premier suffit déjà à hausser de nombreux sourcils et à faire rires les potes de régiments de ses parents. ÂGE & DATE DE NAISSANCE Il a aujourd'hui 44 ans, né le 1er juillet 1975. LIEU DE NAISSANCE Ares a bien faillit naître très loin du domicile familial, si son père n'avait insisté lourdement auprès de son épouse pour qu'elle se repose pendant le dernier trimestre de sa grossesse. C'est à Vancouver, où ils étaient basés à l'époque, qu'il a vu le jour. EMPLOI Depuis une bonne dizaine d'années maintenant, il est artiste peintre à son compte, pouvant effectivement vivre de ce qui l'a toujours animé. Mais ce n'est pas seulement le genre d'artiste qui fait des petites toiles avec ses acryliques, il effectue également des fresques dans les rues de la ville, et quand le besoin, ou l'envie se fait sentir, il en réalise chez des particuliers aisés. STATUT CIVIL Après une relation de dix ans et un célibat qui a suivit pendant quatre ans, Ares se lance dans une nouvelle relation, une relation pour le moment virtuelle, et somme toute passionnée, avec Theodore, dit Teddy, qu'il meurt d'envie de rencontrer en chair et en os... Si seulement le dit Teddy n'était pas marié ! Il est également le papa de deux enfants, une adolescente de 14 et un petit garçon de 6 ans dont il a la garde partagée avec son ex-compagnon. STATUT FINANCIER $$$. ORIENTATION SEXUELLE Depuis pratiquement toujours, et sans se lancer dans de grandes expériences, Ares s'est toujours assumé en tant qu'homme homosexuel, prouvant par la même occasion à son père et une partie de sa famille qu'être un homme gay ne veut pas dire être un cliché vivant. DÉFAUTS Impulsif, bordélique, directif, distrait, têtu, provocateur, bavard. QUALITÉS Passionné, créatif, généreux, patient, blagueur, joueur, tolérant. GROUPE BLUE VALENTINE.En savoir plus▲▼CRIMSON DAY
identification complète Son nom complet est Ares Antonio Murillo, mais soyons honnête, il n'utilise jamais son second prénom, le premier suffit déjà à hausser de nombreux sourcils et à faire rires les potes de régiments de ses parents. âge & date de naissance Il a aujourd'hui 44 ans, né le 1er juillet 1975. lieu de naissance Ares a bien faillit naître très loin du domicile familial, si son père n'avait insisté lourdement auprès de son épouse pour qu'elle se repose pendant le dernier trimestre de sa grossesse. C'est à Vancouver, où ils étaient basés à l'époque, qu'il a vu le jour. emploi Depuis une bonne dizaine d'années maintenant, il est artiste peintre à son compte, pouvant effectivement vivre de ce qui l'a toujours animé. Mais ce n'est pas seulement le genre d'artiste qui fait des petites toiles avec ses acryliques, il effectue également des fresques dans les rues de la ville, et quand le besoin, ou l'envie se fait sentir, il en réalise chez des particuliers aisés. statut civil Après une relation de dix ans et un célibat qui a suivit pendant quatre ans, Ares se lance dans une nouvelle relation, une relation pour le moment virtuelle, et somme toute passionnée, avec Theodore, dit Teddy, qu'il meurt d'envie de rencontrer en chair et en os... Si seulement le dit Teddy n'était pas marié ! Il est également le papa de deux enfants, une adolescente de 14 et un petit garçon de 6 ans dont il a la garde partagée avec son ex-compagnon. statut financier$$$. orientation sexuelle Depuis pratiquement toujours, et sans se lancer dans de grandes expériences, Ares s'est toujours assumé en tant qu'homme homosexuel, prouvant par la même occasion à son père et une partie de sa famille qu'être un homme gay ne veut pas dire être un cliché vivant. défauts Impulsif, bordélique, directif, distrait, têtu, provocateur, bavard. qualités Passionné, créatif, généreux, patient, blagueur, joueur, tolérant. groupe BLUE VALENTINE. crédits Aloa.
We want to know about your life.#1 Et si on commençait par ses origines ? Il vient d'une longue tradition de Murillo qui remontent le continent Américain pour toujours aller dans un pays où il fait plus froid que le précédent, pour finir par la génération de son père, qui a décidé que se geler les parties au Canada était une bonne idée. Tout ce qu'il sait, c'est qu'à la base, ils venaient d'Argentine, mais le sang s'est tellement mélangé, autant que les nationalité, qu'il en perd, parfois son espagnol. #2 Ses parents sont tous les deux militaires de carrière, et c'est d'ailleurs un miracle qu'ils soient tous les deux encore avec tous leurs membres. C'est dans une base qu'ils se sont rencontrés, c'est dans une base qu'ils se sont mariés, c'est dans une base qu'est né leur fils... et c'est dans une base qu'ils aimeraient finir leurs jours, mais la retraite ayant sonné depuis un moment, c'est dans une petite maison de campagne à quelques kilomètres d'Ontario qu'ils occupent leurs vieux jours, affichant partout leurs souvenirs et leurs médailles diverses. #3 Et c'est bien parce que son père avait dans le but de faire suivre ce début de tradition à son fils qu'il a insisté pour le nommer Ares, à l'image du dieu Antique de la Guerre (et de la Destruction, mais cette partie là, Mr Murillo l'a ignoré volontairement). Il a toujours rêvé de voir leur enfant continuer de servir leur pays, de le voir monter les grades, de lui transmettre tout ce qu'il savait... Quelle ne fut pas sa déception de le voir plutôt se tourner vers l'art, et en plus développer un véritable talent dans ce domaine. Le père Murillo a bel et bien essayé de raccrocher son fils à sa propre passion, l'envoyant faire des stages, des camps divers, lui imposant même parfois des séances d'entraînements. Ce qui ne fait que creuser un peu plus le fossé qui s'élargissait déjà avec les années entre le père et le fils. #4 Habitué au changement de vie, de villes, de nouvelles écoles et de nouveaux amis avec les différentes bases dans lesquelles ses parents ont été envoyé, Ares n'a jamais eu trop de mal à s'habituer aux déménagements, s'amusant même bien plus souvent avec les cartons avant et après les départs. Ceci dit, ces déménagements à répétitions lui ont toujours donné le sentiment de ne jamais se sentir vraiment chez lui quand ils se posaient quelque part, un sentiment qui l'habite encore toujours aujourd'hui. #5 Ares s'est intéressé à la peinture, et à l'art en général très tôt, et ce bien avant que l'école de l’emmène pour la première fois dans une musée, il ne voulait même plus retourner dans le bus. Bien plus que le dessin, la peinture l'emportait sur tous les points, et surtout, parce qu'on pouvait la mettre absolument partout. Ah oui, il fait parti de ces sales gosses qui ne peint pas seulement sur les feuilles blanches sur son petit bureau en plastique, non, non, toutes les surfaces possibles et imaginables sont passées sous ses petits doigts et ses pinceaux d'enfant. Mais si ça n'avait été que quand il était enfant... Non ! Ares, quel que soit son âge, ne pouvait s'empêcher de décorer lui-même ses chambres, sans vraiment prendre l'aval de ses parents au préalable, et surtout dans son propre style, ce qui, bien évidemment, n'était pas à leur goût. #6 Sa relation avec ses parents est un beau bordel. S'il est du commun que le père et le fils ont vraiment beaucoup de mal à s'entendre, à commencer par le fait que le rejeton n'a rien pris du bon côté des militaires, et encore moins des bons exemples, peu de gens savent que c'est tout aussi chaotique pour ses rapports avec sa mère. Il aime sa mère, autant qu'elle l'insupporte, il lui envoie des fleurs comme il peut l'ignorer pendant des semaines et ne répondre à aucun de ses appels. Sans doute parce qu'elle a toujours eu tendance à prendre le parti de son père quand il était petit, tout en enfreignant elle-même les punitions pour lui apporter une part de pizza en secret. Mais au fond, Ares aime ses parents. Quand ils sont loin. #7 C'est à Toronto qu'il a posé ses valises et cartons pour une durée indéterminée il y a une presque quinze ans de cela... mais parce la vie l'y a porté. Et l'amour tout particulièrement. Incapable de se poser vraiment quelque part, toujours à cause de ce sentiment de ne pas être chez lui, c'est grâce à une rencontre, à un homme. Qui ne vivait pas encore à Toronto mais qui projetait d'y aller, de s'y installer. Il l'a suivi, ne songeant de toute façon qu'à cette vie qui s'offrait à eux, peu importe où son cœur l'emportait. Mais il est vrai qu'au fil des années, il a fini par s'y sentir bien, à y faire ses petites habitudes, à poser sa patte artistique un peu partout en ville. Et encore actuellement alors que l'homme est devenu son ex-compagnon. Après tout, ne dit-on pas que la maison, c'est là où est son cœur ? #8 Avant de devenir un artiste à plein temps, Ares a fait naturellement l'école des Beaux-Arts à Montréal, mais tardivement. C'est à l'ouverture de cette école, âgé de 24 ans qu'il s'est véritablement lancé dans l'idée de vivre de sa passion. Avant cela, il a surtout fait beaucoup de boulot facile d'accès, serveur dans des restaurants et des bars, et même barman quand il a été en âge de faire joujou avec l'alcool. Naturellement, son père n'a pas été très enchanté par ce choix de carrière, ne l'encourageant que moyennement. Pour tenter de joindre les de bouts, il a longtemps cumulé les boulots de professeur de peinture et barman, jusqu'à ce qu'on s'intéresse à ses œuvres, et qu'il puisse enfin ne vivre que pour cela. #9 Ses enfants ne sont, biologiquement pas les siens. Son aînée, Carrie, est la fille de son ex-compagnon, qu'il a eu avec une femme qui les a ensuite abandonné tous les deux, bref une histoire compliquée. La petite avait tout juste quatre mois quand il a connu son ex-compagnon, il l'a pour ainsi dire élevé comme la sienne, et dès qu'il l'a pu, l'a adopter pour de bon. Quand bien même cela coïncida avec sa séparation. Le couple a également eut un petit garçon, conçu in vitro et grâce à une mère porteuse, envers qui Ares continue de se sentir redevable. Et ses enfants sont actuellement le centre de son monde. Il s'est battu pour pouvoir obtenir une garde partagée avec son ex-compagnon, tout en essayant de garder de bons rapports avec ce dernier, sachant pertinemment que c'est ce dernier qui pourrait bien récupérer leur garde s'ils venaient à entrer dans une guerre froide. #10 Pas forcément l'homme le plus connecté du monde, Ares utilise de plus en plus les nouvelles technologies, que ce soit pour ses œuvres et les faire connaître, ou dans le quotidien. Et surtout parce qu'il s'est rendu compte que grâce à son téléphone, il pouvait avoir accès à tellement de choses, aussi bien au niveau de la musique que des films et séries, ou de visite virtuelle de musée, de possibilité de voyage et tant d'autres choses ! Sans oublier évidemment, une énorme facilité à trouver les jouets introuvables que son fils souhaite. Il découvre chaque semaine de nouvelles applications, qu'il fini par oublier, se lance dans de nombreuses nouvelles activités accessibles par application sans arriver à les tenir plus d'une semaine (oui, oui, c'est à vous qu'on parle le footing, le yoga et la méditation). #11 Il a une allergie que tout parent souhaiterait avoir : l'allergie aux poils et aux plumes. Il ne peut pas rester en présence de la moindre bête à plumes ou à poils sans se mettre à éternuer, et bruyamment en plus. Et comme il ne supporte pas la vue des reptiles ou tout ce qui peut avoir des écailles, au plus grand désespoir de ses enfants, les seules animaux de compagnie qu'il y a chez lui sont virtuels et sur un petit écran. Qui finissent d'ailleurs par être oubliés aussi vite que ses résolutions sportives. #12 On ne dirait pas comme ça, mais Ares aime beaucoup les tatouages. Il en a déjà dessiné pour des amis, parfois des très simples, parfois des copies miniatures de ses œuvres. Mais à l'inverse, il préfère laisser les artistes s'exprimer sur sa peau. Bon, il n'en a pas beaucoup, et des petits, mais sa seule directive étant la signification de ce qu'il veut avoir sur la peau, il laisse libre interprétation aux tatoueurs. Il en a trois, seulement, un pour chacun de ses enfants, son aînée sur la main gauche, son fils à l'intérieur du poignet droit et une petite cible monochrome au milieu du dos. La signification de ce tatouage-là ? Il en garde le secret.
SI TU DEVAIS PARLER DE L'AMOUR, QUELLE DÉFINITION EN DONNERAIS-TU? L'amour, c'est le sentiment le plus fort, le plus passionné et le plus dévastateur qu'il connaisse. Ares est un passionné, mais quand il s'agit d'amour, il est ultra passionné. L'amour, c'est ce qui lui a permis de rester debout dans les plus grandes difficultés, l'amour (de ses enfants) c'est ce qui lui permet de rester debout quand tout va mal. L'amour, c'est en grande partie ce qui l'inspire, que ce soit en bien ou en mal. L'amour c'est ce qui rend fou, et lui donne envie de rester fou pour toujours. PENSES-TU QUE LES SITES DE RENCONTRES PEUVENT AIDER À TROUVER LE VÉRITABLE AMOUR? Trouver le véritable amour via les sites de rencontres ? Il n'en est pas certain, mais il ne peut pas dire qu'il refuse d'y croire : il fait parti du public de ces sites. Ares n'a jamais été du genre à draguer dans les bars ou sur les lieux de rencontres qu'il connait pourtant bien. Il n'a jamais vraiment su comment séduire, et c'est principalement de cette façon qu'il rencontre des hommes. Et avec Teddy... il ne sait plus quoi penser, il n'arrive pas non plus à le sortir de sa tête. Une chose est sûre, c'est qu'il est bien plus souvent sur son téléphone et moins enclin à faire d'autres rencontres depuis qu'il connait Teddy.
pseudo/prénom Papy Shiro âge 27 ans et demi d'où viens-tu? Du Sud de la France, côté Atlantique comment tu as trouvé notre petit forum? En cherchant sur des fiches partenaires au premier coup d'oeil? Très beau, et parfait pour mon petit Ares et sa moitié autre?
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