(kingsley) which is akin to my current relationships.

(point un) Commençons par le contexte familial ; King – de son prénom complet Kingsley – est né le 7 avril de l’année 1983, étant le premier bébé de la famille Singh. Le choix du roi, un beau petit garçon d’un poids conséquent, mais en pleine santé. Tes parents, Destiny Brown mariée à Luke Singh avaient longtemps attendus pour avoir un premier enfant. Tous les deux portaient une importance particulière à leur affaire – La clinique Singh – le trésor de la famille. Ils s’étaient défoncés de nombreuses années, ton père était chirurgien tandis que ta mère était polyvalente pour pallier au manque d’employés : secrétaire, gérante, infirmière et même un peu comptable. Ils s’étaient promis de conclure leur amour par un ou deux enfants lorsque l’entreprise serait connue. Sept ans après toi, vint un second garçon. William. (point deux) La différence d’âge était conséquente, mais grâce à l’amour du foyer, et un apprentissage régulier d’accepter la dite différence de toutes les personnes autour de soi, vous vous entendiez bien. Même très bien. Jusqu’au jour de ce fameux 3 mai 1994, où tout allait être bouleversé. Ce jour-là, tu étais chez tes grands-parents, tandis que tes parents fêtaient leur anniversaire de mariage. Ce soir-là, exceptionnellement tu ne restas pas dormir avec tes grands-parents. Ta nuit, tu l’as passa à l’hôpital, tu avais dix ans, tu ne comprenais pas tout. C’est seulement le lendemain, que tu compris que ton frère avait été accidenté, toute comme la nounou, et que la maison était réduite en cendre. Ton frère était défiguré, et la vie de la pauvre femme avait étais volée par les flammes. Une bien triste histoire, qui resterait gravé dans vos cœurs. Dans votre malheur, se trouve un bonheur : William après deux mois en coma artificiel, fût transférer dans un autre hôpital, plus proche de chez-vous, pour reprendre peu à peu une vie normale. (point trois) Ton métier, ce fût une évidence après l’accident qu’aura emporté la beauté du visage de ton frère. Avec les années, et plusieurs interventions de chirurgie esthétique, il fût doté d’un visage pratiquement indemne. Bien sûr, ce n’était pas parfait, on y voyait toujours les séquelles des flammes sur son minois. Mais la douleur de se voir mort dans le miroir était désormais écarté pour William, il pouvait presque sortir du domicile familial sans avoir peur de recevoir des brimades. Son enfance fût difficile, et en tant que grand-frère, ton caractère se renforça, tu usas d’ailleurs bien trop de fois tes poings pour faire taire des gueules. (point quatre) Suite à toutes tes tumultes d’adolescents, tes parents te remirent dans le droit chemin, te rappelant à quel point tu voulais être sérieux dans tes études. Ce que tu deviens. Suite à ton baccalauréat, contrairement à beaucoup de tes camarades qui s’amusaient, commençaient à connaître l’amour, tu te lanças en faculté de médecine. Au départ, tu semblais perdu, pas dans ton élément. Mais grâce à ton père, et ton travail quotidien, tu arrivais à survivre dans les études. (point cinq) Cinq ans passées, ça faisait déjà bien quelques mois que tes parents discutaient d’un prochain déménagement. Toutes les démarches administratives faites, ton inscription dans la faculté de Toronto complété, vous quittiez tous les quatre Oxford pour un aller sans retour vers le Canada. Il ne te restait plus que deux ans en faculté, et tu savais pertinemment que les écoles spécialisées aux alentours de Toronto étaient réputées, tu ne perdais rien au change. Bien sûr, Oxford te manquerait, mais au fond, tu avais l’impression de quitter ce passage à vide, que toute ta famille et toi-même avez vécus. Grâce à un peu de notoriété, de préparation intense, tes parents avaient trouvé des locaux sublimes et bien situés pour installer la seconde clinique d’esthétique de la famille Singh. (point six) En arrivant sur Toronto, tu as fais l’agréable rencontre d’une jeune femme sicilienne. A peine plus jeune de deux ans, elle semblait être ton idéal, calme et distinguée, jusqu’ici tu n’avais connu que quelques amourettes pour vider tes pensées lorsque les cours étaient trop difficiles. C’était une sorte de révélation, tu savais que tes études te prendraient beaucoup de temps. D’un commun accord, vous décidiez de vous concentrer sur le plus important avant de voir un avenir. Petra était conciliante et semblait comme toi : elle ne devait pas décevoir sa famille. Deux ans après, c’était devenu officiel, Petra était ta petite amie. Vous aviez eu le temps de vous connaître, et de savoir que l’avenir serait agréable ensemble. Elle avait cette même hargne et cette envie de réussir. Ce qui te plaisait chez-elle. (point sept) Tes deux dernières années de facultés finies, tu as continué sur deux ans d’études en chirurgie générale et enfin une spécialisation de quatre ans en chirurgie plastique, reconstructrice et esthétique. A la fin de tout ça, treize années, tu fus enfin prêt à devenir l’homme que tu avais toujours rêvé d’être depuis tout petit. (point huit) Dans tout le néant d’études, de futur professionnel, tu fis la rencontre de ta belle famille, qui t’intégra presque immédiatement, la renommée de tes parents et ton sérieux dans la vie aidant beaucoup à cela. Une année après, ta sœur eu enfin le courage de te présenter sa plus grande complexité, sa rivale depuis toujours : sa sœur. Elle était aussi belle que Petra, son prénom était différent, chantant, typique de la Sicile. Et alors que ses dernières années furent cadrées, tous tes gestes étaient calculés pour ne pas foutre en l’air ton futur, tu ne sais pas pourquoi, elle fut le déclic. Tu sombras dans l’appel de la chair avec la demoiselle, encore aujourd’hui, tu ne sais pas comment cesser tout ça. Tout ça étant mêlé de sentiments inavouables et d’envie sincère de tout laisser tomber. Giulia, la faiblesse de Petra, mais aussi de toi. (point neuf) Pour ne pas arranger les choses, à la fin de tes études, et après un an de préparation intense, tu devins le mari de Petra. Vos deux familles réunis dans votre union, vous étiez tous les deux les meilleurs pour cacher les difficultés déjà avancées du couple. Vous vous voilez déjà la face à l’époque, pour vous, c’était le meilleur moyen de fonder un futur. Tu t’étais laissé embarquer dans l’aventure du mariage, puis au fond, tu aimais toujours Petra malgré tout. Tu te devais d’éloigner les auras négatives, mais au grand jamais, tu n’auras réussi à quitter les formes de la petite sœur, tu es honteux, mais tu ne sais plus comment t’en sortir. (point dix) Entre tes 31 et 33 ans, tu exerças à l’hôpital de Toronto, le temps que ton père puisse correctement t’accueillir dans sa clinique, mais aussi te laisser le temps de te former dans un lieu d’urgence, tout le contraire de sa clinique, centralisé sur la beauté. Tu as appris beaucoup de choses, parfois tu as des remords d’avoir quitté le bâtiment, mais c’était un mal pour un bien. (point onze) En dehors de ton mariage, de tes sentiments pour la petite sœur, tu es dans un réel engagement pour la protection des animaux, tu prends le temps chaque années pour voyager en couple, Petra étant toute aussi engagée, pour aller aider un peu partout dans le monde, dans l’unique but d’aider plusieurs associations et organismes dans ses engagements. (point douze) Vous avez une petite ferme dans le terrain de votre maison, vous avez quelques poules, des chèvres, un cheval et un poney – Vous êtes tombés amoureux de l’Islande, vous partez au moins une fois dans l’année dans le pays, vous vous projetez peut-être d’acheter une petite maison là-bas – tu es un grand sportif, ton emploi du temps étant plein, entre ton job, tes sports divers et variés, ta vie de famille, amicale et ton engagement associatif.