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(giulia, kingsley) tous en scène.

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Kingsley Singh
Kingsley Singh
"Our lovelies"

DATE D'ARRIVÉE : 17/03/2020
DÉCLARATIONS ENVOYÉES : 47
PSEUDO + PRÉNOM : nezusix, manon
FACECLAIM : nick bateman (@.nudist)
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MessageSujet: (giulia, kingsley) tous en scène.   (giulia, kingsley) tous en scène. EmptySam 21 Mar - 23:18


Dimanche, ce jour sacré pour la famille de ta femme, la famille Di Marzo. Si au début, tu étais un peu réticent à y participer, par peur d’être pris pour un étranger, tu as vite remarqué que tu étais loin d’être traité de la sorte. Au contraire même, ta situation et ton sérieux aidant franchement, tu es t’es fait ta place. Vous habitez tous dans le même quartier, et dimanche, c’est toujours la même rengaine. Petra passe beaucoup trop de temps à choisir une tenue, tu ne cesses de lui dire que vous n’allez pas en soirée ou dans un mariage, mais elle veut à tout prix prouver qu’elle prend soin d’elle, qu’elle est meilleure que tout le monde. Ce côté-là de ta femme t’a toujours exaspéré, mais tu as fini par faire avec. Tu embrasses la tempe de ta femme, la rassurant, lui disant qu’elle est belle. De suite, ça apaise ses propres tensions, et elle finit par choisir la tenue qu’elle a déjà sur elle : toujours la même chose, tu as les mêmes astuces depuis neuf ans. Les clefs de la maison en main, Petra enfin prête, vous sortez enfin de l’habitation. Comme d’habitude, en retard sur ce que vous vous étiez dit. Tu attrapes la main de la dame à tes côtés, tu essaies doucement de recoller certains morceaux qui semblent perdus. La réalité, c’est que plus rien ne va. Tout n’est que façade, vous avez trop peur pour vous séparer. Parce qu’elle a cette obsession de vouloir être la meilleure, face à qui ? A celle qui est née plus tard qu’elle, sa petite sœur. Tu es bien content de ne pas avoir ce genre de dispute avec ton petit frère, il faut dire que depuis son accident, il n’a jamais réussi à sortir de sa coquille. Pourtant, on ne voit pratiquement plus les erreurs de son passé, tu te sens toujours un peu mal pour lui, mais tu ne peux rien faire de plus. Vous arrivez bien vite sur le pas-de-porte, où Petra – comme tous les dimanches – tente d’arranger tes vêtements, qui sont – toujours – très sobres et classiques. Une chemise blanche et un pantalon gris, une ceinture et une paire de chaussures noirs. Tu changes rarement de tenue quand tu vas voir ta belle famille, Petra à instauré cette foutue règle. Généralement, tu es toujours très décontracté en dehors de ton travail, alors qu’on t’oblige à changer de façade pour plaire : ça t’a toujours déplu. Mais c’est Petra, alors bon, tu acceptes. Tu entends derrière la porte Giorgio et Anita, toujours très discrets devant les autres, mais une fois en famille, ça n’a pas peur de se fâcher. Bon, comme les vieux couples, c’est plutôt des petites engueulades, pour pas grand-chose. Petra toque pour prévenir et entre, tu la suis finalement. C’est de suite un climat très Sicilien, de grandes embrassades, un ton de voix plus élevé, tu es Anglais, tu ne connais pas ça normalement. Mais comme tu es « des leurs » tu fais comme eux. « Anita ! Bonjour ! Comment vous allez aujourd’hui, vous êtes res-plen-dissante ! » tu ne joues pas, tu es sincère. La mama se sent flattée, - comme tous les dimanches – c’est une répétition, presque orchestrée. Tu poses le sac de ta femme dans l’entrée, ainsi que vos vestes. Les maris de siciliennes prennent soins d’elles, non ? Ou peut-être parce-que tu es un parfait gentleman, malgré le fait que tu te tapes… Ben voilà, sa sœur est là ! Toujours aussi jolie, bien apprêté. Tu sais pertinemment que tu vas te faire envoyer foutre, elle joue un jeu, et toi aussi. La vérité ? Tu couches avec elle derrière le dos de Petra, et tu aimes ça comme un petit con que tu es. Mais Petra ne se laisse plus toucher, bon, que depuis trois ou quatre mois, ça fait neuf dans que vous couchez ensemble, enfin… ça doit être dans ses eaux là. « Et voici ma maaaa-gnifique belle-sœur, qui à l’air de boooonne humeur pour accueillir son beau-frère chéri ! » un sourire ravageur, un sourire de putain d’arracheur de dents. Que faire de plus, ou de moins, ça fait neuf ans que vous jouez devant la famille Di Marzo, et comme tous les dimanches, ça ne changera pas.

@Giulia Di Marzo - tenue: king / petra
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Giulia Di Marzo
Giulia Di Marzo
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MessageSujet: Re: (giulia, kingsley) tous en scène.   (giulia, kingsley) tous en scène. EmptyLun 23 Mar - 2:09

outfit +  Dimanche, ce jour sacré. Jour que chaque semaine tu embrasses. Jour que chaque semaine tu te hâtes de retrouver. Une hâte nullement liée avec le plaisir de dormir quelques heures de plus le matin, mais bien plus avec ce bonheur de retrouver les tiens autour de ce repas. Un repas comme un retour aux sources. Un retour direct à cette île dont les souvenirs t’emplissent de nostalgie. Tu sais ta vie à Toronto. Tu sais aussi ton envie d’y retourner - forte. Tu sais que le temps fera son office. Toujours dans ton lit, tu t’étires longuement. Tu jettes un rapide coup d’oeil aux chiffres rouges de l’appareil installé sur la table de nuit, et lâches un léger soupir. Tu l’admets quelques minutes en plus n’auraient pas été un luxe, au vu de ta nuit dernière à l’hôpital. Une nuit facilement qualifiable de mouvementée. Ce lit, tu te décides finalement à le quitter. Le quitter pour retrouver ton espace de jeu préféré, soit ton dressing. Espace, bien trop rempli dans lequel tu médites quelques secondes. Quelques petites secondes qui te permettent de porter ton choix sur ce tailleur vert que tu décides d’accompagner d’un simple t-shirt blanc. Des vêtements qui t’accompagnent jusqu’à la salle d’eau. Des vêtements que tu déposes sur l'accroche prévue à cet effet. Des vêtements qui t’habilleront une fois cette douche prise. Une douche que tu laisses durée en laissant l’eau chaude couler sur ta peau nue. Doucement tu laisses tes sens s’éveiller. S’éveiller pour devenir cette femme - Giulia Di Marzo.

***
Tu arrives face à cette dominante porte blanche, tu frappes. Tu frappes pour témoigner de ta présence. « Entre ma fille ! » prononcé en langue maternelle par cette mamma que tu aimes, tu réponds à son ordre. Dans la maison familiale, tu la serres contre toi pour la saluer. « Buongiorno, mamma ! » Ton padre se joint rapidement à vos retrouvailles. Il t’embrasse sur le front, et tu le serres lui aussi contre toi. « Bonjour ma fille ! Rejoins vite la salle à manger ! » Tu hoches la tête rejoignant ladite pièce dans laquelle se trouve déjà le benjamin de la tribu. Un frère que tu taquines légèrement avant de proposer ton aide à ta mère affairée en cuisine. Une aide qu’elle accepte volontiers. Une aide coupant vite court au vu de l’agitation dans l’entrée. Une agitation sans nul doute lié à l’arrivée de ton aînée avec l’homme partageant son bras, et ton lit. Tu déposes le plat sur la table, lorsque sa voix te parvient. Tu soupires, levant les yeux au ciel. « Je l’étais avant de t’entendre ! Paroles accompagnées d’un majeur en l’air qui aura moins l’avantage de te soulager. Tu joues la comédie. Tu joues la comédie parce que personne ne doit savoir la véritable nature de votre relation. Une relation bien plus agréable que celle que vous laissez paraître. Une relation charnelle, interdite. Une relation que vous entretenez depuis presque neuf ans maintenant. Une relation que tu devrais arrêter sans pour autant y trouver la volonté. « Giulia pas de ça chez nous ! » une remontrance en langue chantante d’une mamma qui n’accepte pas l’irrespect. « Scusa Mama ! » Tu salues ta soeur d’un rapide baiser sur la joue. Un contact rapproché qui te permet de sentir la présence d’un ventre encore inexistant la semaine passée. Tu hausses un sourcil, ne pipe pourtant mot. Vous vous installez autour de cette table familiale, et la chance a voulu que King se retrouve face à toi. « Et moi qui pensait ton voyage à Londres sans date de retour... prononces-tu mauvaise alors que la réalité est tout autre. L’avoir ainsi face à toi est un réel plaisir. Tu es contente de le retrouver. Certes pas de la façon dont tu le souhaiterais, mais cela ne serait vraiment tarder. Chacun de vous a ce besoin vital de l'autre.
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Kingsley Singh
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MessageSujet: Re: (giulia, kingsley) tous en scène.   (giulia, kingsley) tous en scène. EmptyLun 23 Mar - 2:40


En entrant dans la maison, une bonne odeur de nourriture préparée avec amour vient saisir tes narines. Suivis d’une certaine animosité de la part de ce qui s’apparente à ta belle-sœur. Tu as l’habitude, ça ne fait que plusieurs années que tu supportes le rôle du gendre qui laisse la petite sœur l’insulter à tort et à travers ! Tu sais cependant remettre les choses à plat et dans l’ordre une fois la dite petite sœur dans le lit, tremblante. Mais ça, tu ne pourras jamais l’avouer à la famille Di Marzo, ça reste secret. Anita la remet en place, tu sais d’où puisent les deux sœurs leurs caractères. Tu affiches un sourire satisfait, à Giulia, toujours dans ton rôle. Tu proposes ton aide, mais il semblerait que ce ne soit pas aujourd’hui ; merci Petra, pour le retard. L’annonce du repas est annoncée, et tout le monde s’installe, presque par hasard tu tombes face à ton ennemie d’un jour. Bien sûr, tu sais apprécier les petites choses, quand bien même ta femme soit à tes côtés. La petite sœur revient à la charge, et ça te fait rire ! « J’aurais bien prolongé le séjour, si j’avais su que tu tirerais cette gueule aujourd’hui Gigi ! » sifflotes-tu, avant de te faire reprendre par Petra. C’est bien ce qui t’énerve dans les repas de famille ; vous ne pouvez pas être libre de vos paroles, de vos mouvements. Et tu as horreur de ça ! « Excuses-le Giulia, c’est son travail qui le rend bête. » tu ris à la réflexion de ta moitié, tu en prends pour ton grade aujourd’hui. « Ah bon ? D’accord, ahah. » Tu regardes avec attention la brune à tes côtés, avant de reprendre une bouchée du fameux repas. La discussion s’apaise finalement, vous discutez tranquillement de la pluie et du beau temps, tu poses innocemment une question à la demoiselle face à toi. « Dis Giulia, on est venu réparer ta télévision finalement cette semaine ? » alors que tu entames encore une part dans ton assiette. Ta femme se retourne vers toi, stupéfaite. « King ? Je ne t’ai jamais dit pour la panne… de sa tv ? » tu manques de t’étouffer, elle a pas tord pour le coup. Tu remarques quelques regards braqués sur toi, tu t’essuies la bouche le temps de réfléchir, avant de ricaner et trouver enfin une excuse pour te crédibiliser. « Chaton, j’ai eu ton père quand j’étais à l’hôtel. » tu en profites pour que celui-ci ne soit pas à table pour l’utiliser, et lorsqu’il revient, Petra lui pose de suite la question. Dont la réponse est en adéquation avec la tienne, il faut dire que tu as un peu soufflé l’information, il affiche un visage confus, mais ne cherche pas à se souvenir de votre dernière discussion. Bien sûr, vous vous êtes téléphonés. Mais jamais, il ne t’a parlé de cette foutue télévision. Par chance, Petra te croit et rit pour passer à la suite, sans jamais entendre la réponse de sa propre petite sœur. Tu jettes un coup d’œil à la brune en face de toi, tu l’entendrais presque t’insulter de tous les noms d’oiseaux. Ton téléphone portable sonne soudainement, tu t’excuses immédiatement pour l’appel, dont tu es obligé de prendre. Tu sors finalement de la maison pour t’isoler, encore et toujours le travail.

@Giulia Di Marzo - tenue: king / petra
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Giulia Di Marzo
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MessageSujet: Re: (giulia, kingsley) tous en scène.   (giulia, kingsley) tous en scène. EmptyLun 23 Mar - 16:27

outfit + À tes mots il ne peut s’empêcher de répondre, te taquinant gentiment. Lui répondre t’as fortement traversé l’esprit, enfin c’était sans compter sur ton aîné, qui le reprend rapidement. Tu ne dis rien, laissant un simple sourire forcé ponctuer la fin de sa phrase. Ta connaissance des relations conjugales est faible mais devrait-elle pas le soutenir plutôt que l’enfoncer ? Tu soupires légèrement, laissant vos échanges s’apaiser doucement. Après tout ce qu’il se passe entre eux ne te regarde vraiment pas. Le repas se déroule, et se poursuit dans une ambiance bien plus légère. Les rires s'entremêlent aux différents sujets abordés. Jusqu’à cette question, celle qui franchit la barrière de ses lèvres. Une question apparemment anodine, mais pas dans le contexte de votre relation, pas quand ta soeur se trouve à juste quelques centimètres de vos corps. Tu te retiens de toutes expressions qui pourraient vous trahir. Tu te retiens de ne pas le buter immédiatement sur cette table. Seul se hausse un de tes sourcils. Un détail qui témoigne de ton incompréhension. « Mais comm.. ? »  À nouveau tu n’as pas le temps d’en dire plus que ta soeur le reprend. Malgré ce que tu peux montrer, tu sais parfaitement d’où il tient sa connaissance de ton problème, tu en es la source. Une distance en terme de kilomètres. Une distance que chaque jour vous réduisiez, à coup d’appel, de sms ou autre snap… Impossible de ne pas s’enquérir l’un de l’autre. Impossible de ne pas avoir ces instants de partage. La situation autour de la table est tendue, tu ne peux venir à sa rescousse, tu es censé le détester pas lui donner des nouvelles lorsqu’il est en déplacement. À cet instant tu le détestes. Tu le détestes de mettre ainsi votre relation en péril. Comment peut-il faire preuve d’autant de connerie ?  Tu fulmines de rage, n’ayant d’autre choix que de le laisser faire face seul. Il trouve, prétextant un soi-disant appel à votre père. Des paroles que l’homme corrobore sans réellement comprendre quelque chose. Des mots qui semblent soulager tout le monde, sauf toi. King, quitte la table pour cause d’appel de son travail. Ne plus l’avoir face à toi t’apaise. Pourtant tu vois cet appel comme un moyen de te retrouver seul avec lui. Un bref instant, juste histoire d’échanger quelques mots bien sentis. À ton tour de trouver une excuse pour quitter la table. Tu rejettes la faute à ton bipeur de travail. Tu t’excuses et retrouves King à l’extérieur.« C’est pas possible d’être aussi con… »  prononces-tu doucement, laissant tout de même cette colère transparaître. Tu te tiens suffisamment éloigné de l’homme. Tu soupires d’agacement, tes billes brunes sur lui exprimant la même chose. « A quel moment tu t’es dit que c’était une bonne idée King ? A quel putain de moment ? » Tu t'énerves parce que tu joues beaucoup. Comment ne peut-il pas comprendre que tu joues bien plus que lui dans cette situation. Voir cette relation révélée c’est perdre l’honneur, le respect de ta famille. C’est aussi le perdre lui…  « Tu fais vraiment chier...  » Tu le toises, puis fais mine de t’intéresser à ton bipeur. Juste dans le doute, dans le simple doute que quelqu'un vous surprenne... « La prochaine fois dit leur carrement que l’on couche ensemble aussi !  » Tu n’arrives pas à te contrôler, à te retenir. Tu sais la situation oubliée de l’autre côté de ses murs. Tu sais aussi parfaitement qu’il retiendra cette leçon. Tu ne décolères pourtant pas. Impossible…
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MessageSujet: Re: (giulia, kingsley) tous en scène.   (giulia, kingsley) tous en scène. EmptyLun 23 Mar - 19:31


Ta belle famille étant habituée à te voir partir de table, pour parfois de longues minutes, tu ne te gênes plus à le faire. Alors, une fois l’appel terminé, tu prends une grande inspiration, prenant un peu de temps pour toi. Tu entends la porte s’ouvrir et se refermer, tu tournes discrètement ton regard en arrière, pensant à Petra. Mais non, c’est bel et bien sa petite sœur. Elle vient te sermonner, tu n’es qu’au début de tes peines avec les femmes Di Marzo. Tu suis son regard, sa gestuelle, elle commence à s’énerver. Mais elle a raison, tu as fait une petite connerie, mais tu as réussi à te rattraper. Ce n’est pas la première fois que ça t’échappe, tu dois bien l’avouer, tu te demandes parfois, comment ils ne se sont pas rendus compte de votre relation. M’enfin, tant mieux pour vous si vous pouvez continuer ainsi sans peine. Tu t’appuies contre un mur, faisant toujours face à la demoiselle en pleine crise existentielle. Puis quand tout ça semble fini, tu rigoles sans te soucier de ce qui pourrait se passer à la suite. « C’est nouveau ça ? Cette manière de me dire que je t’ai manqué. » un rictus vient doucement se créer sur le bord de tes lèvres, tu rayonnes à ses côtés, tu es toi. Elle t’accepte, quand bien même tu sois le bel enfoiré de beau-frère, qui se tape les deux sœurs. Même si un avenir ensemble est compromis, tu sais qu’un jour vous arriverez à faire un choix, mais tout risquera de tomber. Alors en attendant, vous préférez simplement vous tester, un très long test, se dit en passant. Tu vérifies tout de même que le champ est libre, avant d’attirer la brune à tes bras. Tu la serre alors dans ceux-ci, avant de baisser le regard vers elle, approchant doucement tes lèvres des siennes, pour lui donner un doux baiser, digne de retrouvailles. Par pure prudence, tu finis par la lâcher, bien qu’en temps normal, tu ne le ferais pas. Vous êtes en terrain miné. « Ravie de te revoir, princesse. » conclus-tu. Tu prends à la légère les choses, mais tu fais tout pour vous protéger, elle n’en a pas conscience. Tout ce que tu peux faire pour cela. Tu t’assoies finalement sur les marches, invitant la demoiselle à en faire de même. Si on vient à vous trouver ainsi, ça reste convenable. Elle fait semblant de te détester, mais les trêves existent, et vous avez su vous montrer plus doux face à la famille. Votre relation face à eux ? Elle est une petite sœur virulente, jalouse et chiante. Et tu es le grand frère cool, qui laisse tout passer. S’ils savaient. Tu pianotes sur ton téléphone pour répondre à l’une de tes infirmières qui est au bureau, pour s’occuper des clients. Le bureau étant ouvert tous les jours, il n’est pas rare que tu sois obligé de répondre à tes employés. « Bon, à part ça. Qu’as-tu à me raconter ? J’ai compris que j’ai fait une gourde. Je ferais attention la prochaine fois, ok ? » tu souris à la jeune femme à tes côtés, tirant sa joue et grimaçant pour qu’elle laisse passer le sujet. Tu n’aimes pas être sérieux, tu dois tellement être parfait avec Petra, que tu ne supporterais pas de devoir le devenir avec Giulia qui jusqu’aujourd’hui t’a donné toute la liberté que tu avais besoin. « As-tu rencontré de beaux garçons pour me remplacer ? » demandes-tu curieux, un regard en coin, tu cherches à la déstabiliser, mais aussi voir comment elle se comporte avec toi. Qu’est-tu de plus que son plan cul journalier ?

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Giulia Di Marzo
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MessageSujet: Re: (giulia, kingsley) tous en scène.   (giulia, kingsley) tous en scène. EmptyMar 24 Mar - 2:11

outfit + Sur le petit bout terrain que vous partagez, tu fais les cent pas, portant tes ongles à tes lèvres. Tu laisses cette colère te consumer entièrement. Il n’en est pas à sa première erreur. Alors comment fait-il ? Oui comment fait-il pour remettre le couvert à chaque fois ? Il t’excède. Il t’excède à ce point que tu pourrais t’en prendre physiquement à sa personne. Il a pour lui la chance du terrain. Tu fulmines, littéralement. Alors que lui prend ça à la rigolade. Tu soupires d’exaspération. Tes yeux le fusillent. Comment peut-il être autant lui dans cette situation de crise ? Si détaché, comme indifférent. « Tu te fous de moi là ? » Impossible pour toi de le comprendre. Pense-t-il simplement à ce qu’il dit, à ce qu’il fait ? À l'endroit où il le fait ? Il prend tous les risques, et tu te détestes de ne pas le repousser. Tu te détestes de le laisser t’avoir comme ça. Il te touche, et tu lui cèdes - ton corps, tes lèvres. Un baiser qui scelle vos retrouvailles. Des retrouvailles que tu t'imaginais différentes. Des retrouvailles dont tu te contenteras. Il sépare vos lèvres. Tu essuies le rouge qui les teinte. Tu es plus calme, loin d’être apaisée, mais plus calme. « Tu m’a manqué aussi. » Tu le retrouves sur ces marches, installant à nouveau une certaine distance entre vos deux corps. Tu poses ton bipeur sur tes jambes,, portant ton regard au loin. « Tu devais pas déjà faire attention la dernière fois ? » Tu secoues la tête, tentant de rester le plus sereine possible. Tu te demandes. Oui tu te demandes comment ces gens qui composent ta famille n’ont-il pas compris depuis le temps. Tu t'efforces à la discrétion, mais les maladresses de King viennent te mettre à mal. Tu lâches un nouveau soupir. Malgré tout, ce mec tu l’adores pour tout ce qu’il est. Y compris pour ses failles et ses faiblesses. Même si celles-ci te mettent hors de toi. Il pince ta joue, et tu esquisses un mince sourire en posant tes billes sur lui. Il te rend folle. Tu l’adores pour ça aussi. « Difficile de remplacer un mec que l’on côtoie depuis presque neuf ans... » Côtoyer, pour ne pas dire baiser. Des hommes tu en as rencontré, beaucoup. Pourtant jamais ils n’ont su trouver grâce à tes yeux. Tu as aimé partager leurs temps, leurs corps mais rien de plus. Tu n’es pas de ces femmes faites pour des relations longues. Tu es de ces femmes qui profite des charmes que la nature a su lui conférer, pour vivre, simplement vivre. « Mais j’ai bien rencontré de beaux garçons oui... » Pensait-il sincèrement que tu te retiendrais en son absence. Vos ébats sont réguliers, mais tu n’as pas fait l’erreur de lui promettre fidélité. À quoi bon, puisque sa fidélité à lui est destinée à une autre que toi. « Je ne te retourne pas la question. Petra m’a bien détaillé vos retrouvailles… » Tu pouffes. Toujours ce besoin d’exposer son bonheur. Toujours ce besoin de se mesurer à toi. Si seulement elle savait. Si seulement elle n’avait ne serait-ce que la moindre idée… Ça la détruirait. « Il semble que tu trouves ton équilibre entre nous deux… » Tu ne jalouses pas leur relation, et encore moins ta soeur comme femme officielle. Oui car tu considères sa position bien plus difficile que la tienne. Il faut dire que son conjoint n’est pas venu à toi pour la simple envie de blesser sa femme. Il est venu car à su trouver en toi, quelque chose qu’il ne trouvait pas chez elle.  « Tu penses pouvoir passer à la maison ce soir ? » A ton tour de profiter de son corps pour vos retrouvailles.
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MessageSujet: Re: (giulia, kingsley) tous en scène.   (giulia, kingsley) tous en scène. EmptyMar 24 Mar - 3:28


Comme tu le pensais, la brune ne cède pas. Elle n’a pas envie de rire, mais le fait que tu sois parti deux semaines pour le travail, laissant la demoiselle sans caresses, sans la présence d’un piètre garçon, un abruti de première zone, favorise clairement l’adoucissement de son caractère. Tu arrives même à repérer quelques maigres sourires. Bien sûr, ça te suffit, tu ne pourrais en demander plus en ses temps de crises, tu n’es pas le plus malin de vous deux ; c’est certain. Mais tu ne t’es jamais proclamé ainsi, elle est une renarde, et est tout autant impliqué dans le crime que vous commettez régulièrement, dans le dos de la pauvre Petra. Femme que tu ne désires plus autant qu’avant, tes sentiments ont disparus, tu éprouves une empathie sans faille à la place. Pas de quoi fonder une famille, mais ton orgueil et la pression des deux familles étant bien présents, tu te refuses de divorcer. Ta situation est stable, et Petra ne serait pas du genre à te mettre dans la merde. Au contraire, tu la soupçonnes elle-même de ne plus t’aimer. La voix douce, la révélation, bien difficile à avouer te ferait presque trembler. « Je suis content de le savoir, des images ne remplaceront pas la douceur de ta peau. » Siffles-tu, sans arrière-pensée. Tu es un grand romantique dans l’âme, aveuglé et frappé par cette mentalité, cette normalité, qui fait qu’un garçon ou une femme, ne peut aimer qu’une autre personne. Peut importe le sexe, c’est déjà un progrès. Tu es ce genre d’homme à aimer les femmes, les aimer à un point inimaginable. Tu aimes tout d’elles, l’intelligence, la passion, la hargne qu’elles peuvent avoir. Bien évidemment, dans la balance, se trouve le physique, les jolies courbures étant ton péché mignon. Giulia représente en elle-même l’archétype même d’une jolie femme, envoutante, traversant les siècles. Alors oui, tu détestes te cantonner à une seule personne. Tu aimes découvrir, tu aimes tout simplement, à tort, ne jamais être seul. Elle t’arrache à nouveau de tes pensées, mais pour régler de nouveau vos comptes. Tu veux bien le faire, pour elle, si elle en a besoin. « Je sais Giulia, je sais. Mais j’ai tendance à oublier qu’on est dans un délit, j’oublie. » avoues-tu, sérieux. Un peu pensif aussi, ça te fait mal. La demoiselle tente de te faire plaisir, mais sait remettre les choses dans leurs contextes. Bien sûr, elle est libre, son cœur et son corps sont volatiles. Et tu l’aimes ainsi, tu es prêt à la partager tant qu’elle acceptera de rester à tes côtés. Qu’elle supportera tes faiblesses et tes travers. Tu n’es pas prêt à vous changer, à la changer. Tu vous aimes ainsi, dans cette entièreté qui vous caractérise. Alors quand elle t’assure qu’elle a pu rencontrer de beaux garçons, tu ris. Sincèrement. Impossible d’emprisonner, pas comme sa sœur. Mais son retour de flamme te fait d’autant plus rire, tu manques d’éclater de rire en fait. Tu la regardes, fronçant les sourcils, essayant de retenir tes larmes. Et puis le fait qu’elle appuie sur sa seconde phrase, on dirait presque que tout va bien dans ton couple. Tu reprends tes esprits, contrôlant ton fou rire silencieux. « Je me demande bien ce qu’elle a pu encore te raconter, elle m’impressionnera toujours ! » tu l’as connais, tu l’as laisse faire. Elle romance tout, tout le temps. Elle a besoin de se sentir vivante dans un couple qui se perd, constamment. Tu poses ton coude sur ton genou, et ta joue dans la pomme de ta main, tu observes alors la demoiselle. Avant de souffler quelque chose d’ironique. « Je couche bien plus avec l’une des deux sœurs. » comme avouer que tu n’as clairement pas pu toucher Petra à ton retour, que tu as la gaule sur des cailloux, mais tout ça est normal. Alors quand elle te propose de passer chez elle ce soir, c’est une évidence. « Oui, je passerai après la clinique. » Tu te remets finalement droit, observant désormais le vaste paysage qui surplombe l’entrée de la maison. Tu sais que tu ne peux pas jouer avec le feu, alors tu te lèves, essuyant tes fesses de quelconques saletés. Tu proposes ton aide à la jeune femme pour se relever. Tu pointes la porte, comme une invitation à la laisser entrer en première, vous ne pouvez pas le faire ensemble, tout ça resterait suspect. Foutu relation secrète. Mais avant ça, tu ne te prives pas de plaquer la demoiselle contre le même mur où tu étais précédemment installé. Tu embrasses de nouveau la demoiselle qui te fait palpiter le cœur, quitte à faire rater un ou deux battements. Ta main se fait baladeuse quelques secondes, pour rejoindre l’intérieur de sa cuisse, sans pour autant aller chercher trop loin. Tu veux simplement laisser une emprunte chaude. Tu la fixes alors, avant de susurrer quelques dernières paroles, avant de retourner à votre rôle. « Tu mettras les sous-vêtements que je t’ai envoyé de Londres ? Je bande déjà à l’idée de te prendre sur tous les meubles. » Tu ricanes finalement, délassant cette emprunte, la laissant libre de rentrer en première au repas de famille.

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MessageSujet: Re: (giulia, kingsley) tous en scène.   (giulia, kingsley) tous en scène. EmptyMer 25 Mar - 2:00

outfit + Comme une confession, il avoue coucher davantage avec l’une des deux soeurs. Tes yeux posés sur le néant, s’attardent désormais sur lui. De ta bouche s’échappe même un son proche à un rire. Avait-il seulement besoin de te l’avouer ? Sa condition d’homme marié ne t’a guère échappé entre maintenant et il y a neuf ans. Tu secoues la tête. Sot qu’il puisse être. Tu sais bien ta place dans leur équation - une variable. Une simple variable qui a appris à ne plus réagir. À quoi bon ? Tu n’es que la maîtresse. Celle qui lui permet de s’échapper d’un quotidien parfois trop lourd à supporter. Une position dont tu te satisfais pleinement. Une position qui te pousse à lui proposer ta compagnie ce soir. Ou serait-ce une excuse ? Une excuse pour ne pas avouer que tu veux le retrouver pleinement. Lui, rien que lui. Juste sa peau contre la tienne. Juste son souffle contre tes oreilles…  « Tu auras mangé ? » Tu l’observes se relever. Sa main vers toi sonne le glas de cet instant. Tu l’acceptes, glissant tes longs doigts autour de cette paume tendue. Il te fait signe d’entrer la première, et tu hoches la tête. Il est évident que rentrer ensemble paraîtrait plus que suspect. Finalement, il n’est aussi pas con que tu le pensais. Enfin ça c’était avant qu’il ne te plaque contre ce mur. Tu secoues vivement la tête, tentant même de le repousser - en vain. Il s’empare de tes lèvres et laisse ses doigts s’installer entre tes jambes. Tu le détestes. Tu le détestes de te faire subir ça ici. Pourtant de tes lèvres s’échappe un léger soupir de plaisir. Tu le détestes vraiment. Il te fixe, tu lui retournes la pareille d’un regard sombre, noir. Tu le repousses légèrement. « Désolée, je crois les avoir déjà utilisé avec un autre. » Tu hausses un sourcil. Il veut jouer. Jouer à te rendre folle. Alors très bien, à ton tour de le rendre fou. Tu passes devant lui pour rejoindre le porche. Un porche sur lequel tu t’arrêtes pour porter à nouveau ton attention sur l’homme. « Cela doit bien mériter une petite punition non ? » Puis tu t’éclipses pour retrouver la table familiale. Tu t’excuses une nouvelle fois et Petra s'enquiert de la présence de son mari. « Aux dernières nouvelles toujours au téléphone. » lui réponds-tu simplement, froide, distante, peut-être trop tandis que le chirurgien vous rejoint. L’atmosphère s’est radoucie depuis votre passage en extérieur. Les rires reprennent leur place, et les discussions légères aussi. Du moins jusqu’à ce que ta brune de soeur, se racle la gorge pour prendre la parole. « Je… J’ai quelque chose à vous annoncer… » Les cinq paires d’yeux installées autour de cette table sont toutes rivées sur elle. Cette tension qui s’est installée, tu ne peux que la sentir. L’aura autour de cette table est différente, et tu sens. Oui tu sens que ce qui va franchir la barrière de ses lèvres ne va pas t’être agréable. « Je… Je suis enceinte. Je vais avoir un enfant… Enfin nous allons avoir un enfant. » Elle se tourne vers King, son sourire trahissant cette joie qui la consume. Autour de toi, l’excitation s’installe. Tes parents la félicitent, ton frère aussi. Tu es l’exception. Tu n’y arrives pas. Tu prends la nouvelle comme une claque. Ce genre de claque violente, particulièrement désagréable. Oui parce que tu prends conscience. Tu prends conscience que cet homme tu vas devoir t’en séparer…
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MessageSujet: Re: (giulia, kingsley) tous en scène.   (giulia, kingsley) tous en scène. EmptyMer 25 Mar - 2:44


Douce amertume qui te consume sans état d’âme, lorsque la demoiselle tente vainement de se séparer de ton étreinte. Tu pourrais le prendre mal, tu pourrais être inquiet, tu pourrais. Mais à la place, tu te laisses faire, tu laisses la demoiselle choisir vos positions actuelles : loin l’un de l’autre. Et ce n’est que le début, sans que tu ne t’en rendes compte, ce qui va suivre sera bien pire. Alors qu’il y a quelques instants, tu répondais favorablement à la demoiselle pour la rejoindre dans la soirée, répondant également à sa question brièvement, bien sûr tu mangeras avec Petra. L’instant présent est bien moins doux, plus coriace, caractérisant votre relation étrange. Et le pompon sur la Garonne, est bien le moment où Giulia tente de te rendre jaloux, de t’énerver. Au fond, bien sûr tu réagis. Non, tu bouillonnes. Tu voudrais la plaquer, qu’elle ne regarde que toi. Mais tu es bien le dernier à pouvoir lui demander ça, avec une femme qui t’attends à l’intérieur de cette maison familiale. « Content qu’ils te servent, Giulia. » réponds-tu simplement, d’un air calme, tu gardes ton sang froid et tu souris. Faussement, mais tu caches bien tes sentiments quand il est nécessaire. Elle est mesquine, tu ne peux pas avouer trop de choses, au risque de perdre votre relation. Elle n’a besoin que de ton corps, tu dois lui donner ce qu’elle veut. Rien d’autre. La demoiselle rentre finalement en première, tu en profites pour envoyer un dernier sms, à ton collègue, pour lui demander de terminer un dossier avant que tu ne rejoignes la clinique, après le repas. Tu reviens sur le lieu précédent, la table. La tête de Giulia étant toujours aussi dépité lorsque tu arrives, une grande comédienne. Petra est demandeuse, tu lui donnes toute ton attention, embrassant le front de la femme qui partage ta vie. Voilà ton quotidien, mouvementé. Partagé par deux femmes, différentes, dont la relation est bien plus compliquée au fond, avec l’une que l’autre. Tu finis ton plat, désormais froid, mais tu te tais. Tu n’oserais jamais demander à aller le réchauffer, tu t’es absenté. Tandis que tu termines enfin le plat, Petra semble vouloir se prononcer. Comme à chaque fois, tu dois garder ton rôle de mari model, alors tu l’écoutes attentivement. Mais alors que tu pensais, bêtement, qu’elle annoncerait des chiffres impressionnant dans la boîte de la famille Di Marzo, la nouvelle vient t’assommer. Tu n’entends plus grand-chose, mais c’est lorsque ta belle-mère vient t’enlacer ainsi que Petra, que tu comprends que c’est bien plus important que de simples chiffres. Tu te mords les doigts en ce moment-même, tu ne dois pas sur-réagir, tu dois te contenir. Tu as envie d’éclater, très sincèrement, tu aimerais juste discuter avec ta femme, lui demander ô grand pourquoi, elle ne t’a pas prévenue plus tôt. Un peu bousculé par des félicitations à tout va, tu t’enfermes dans ta carapace dorée, dégainant le visage du parfait mari. Tu ne peux cependant oublier un petit détail, tu cherches le regard de ta belle-sœur. La seule évidemment qui n’est pas aux festivités, vous avez l’air bien con en ce moment. Tu sens une certaine pression, autour de toi. Tu n’as pas dit un seul mot, c’est maintenant l’occasion de le faire. Tu es tout de même… Un putain de futur père, là, non ? Tu regardes Petra, avant d’attirer ta femme vers toi, passant ton bras dans son dos, tendrement caresser celui-ci de ta main, qui jusqu’ici était destinée à caresser une toute autre partie, d’une toute autre personne. « Mon amour… Ah… Qu’elle grande nouvelle ! » Tu évites les questions sincères, comme… Tu comptais me le dire quand ? Tu as décidé ça toute seule ? Tu as dit à ta famille que notre mariage battait de l’aile ? As-tu fait une fournée toute seule pour me faire chier ? Tu reprends tes esprits, certes un peu difficilement. Ce sourire qui orne tes lèvres est faux, et cache une énorme peine de cœur. Tu as tout raté, mais depuis quand ? Aimes-tu toujours Petra ? Est-tu seulement prêt à avoir un enfant, qui vous oblige à vous lier ? Tu es perdu. Tu voudrais hurler, tu sers discrètement tes poings, manquant d’ouvrir tes paumes de main avec tes ongles. Tu n’oses tout simplement plus jouer à l’enfant, en cherchant le regard de Giulia, tu te prends de plein fouet une réalité bien différente de celle qui te séparait d’aujourd’hui et d’hier. Demain, tu seras père. Et tu ne pourras plus jouer à l’infidèle. Cette nouvelle brise doucement, mais surement, ce que tu as construit en neuf années. Le sourire de Petra, quant à lui, te prouve un peu plus, que toutes tes excuses, elle les a entendues. Elle les a acceptées. Mais elle ne les a jamais crues. Le regard de Petra se tourne finalement vers Giulia quelques instants, elle cherche alors quelques félicitations de ce qui est, de sang, sa sœur. Mais de cœur, son ennemie numéro un, celle qui vole le cœur de son mari. Tu es le fauteur de trouble dans cette famille, et tu ne réussiras jamais à t’en sortir. Petra sort finalement sa bombe, celle qui te crève le cœur. Et j’espère Giulia, que notre enfant, aura la chance de t’avoir pour marraine. De plein fouet, vous ai-je dis ?

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MessageSujet: Re: (giulia, kingsley) tous en scène.   (giulia, kingsley) tous en scène. EmptyMer 25 Mar - 18:05

outfit + Tu avais cette habitude, celle de jouer cette partition avec une maîtrise parfaite. Si parfaite, qu’il est surprenant de te voir faiblir face à une telle fausse note. Tu es prise de court. Prise de court par cette nouvelle inattendue. Une nouvelle que tu accueilles difficilement. Tu avais su accepter le mariage. Tu ne pourras pas accepter l’enfant. Tu restes stoïque, comme conne. Comment n’avais-tu pas vu ça venir ? Ce ventre arrondit qui te fait face n’était autre que la suite logique de leur événement - de leur futur. Tu pouffes. Un futur auquel, il te faut l’accepter, tu n’appartiens plus. Dure décision, pourtant tu le savais. Oui tu le savais qu’il te faudrait un jour lui dire au revoir. Il semblerait que ce jour soit arrivé plus tôt que prévu. Bien trop tôt.. Tu laisses alors tes pupilles s’égarer sur lui. Il semble heureux, du moins en apparence. Seulement en apparence en fait. Une apparence qu’il revêt pour contenter sa femme, pour satisfaire ta famille. Oui parce que King, tu as appris à connaitre et reconnaitre cette façon qu’il a de jouer sa partition. Une partition dont il joue chaque note avec brio, mais pas assez pour te laisser berner. Etait-il seulement au courant ? Tu en doutes sérieusement. Et alors que tu te lèves pour rejoindre le calme de l’extérieur, ces mots te parviennent. Ceux d’une aînée fière de t’achever un peu plus. Tu rigoles de nerf. Tu te laisses aller. Tu laisses tout sortir. « Je ne pense pas que cela soit une très bonne idée… » Tu te calmes, et reprends une contenance. Les yeux précédemment rivés sur ta soeur, se posent sur toi. Des billes dans lesquelles tu peux aisément lire toute l’incompréhension que ta réponse leur suscite. Toi qui places ta famille avant tout le reste, tu refuses cette proposition de choix. Enfin une proposition de choix seulement aux yeux de ceux qui vous entourent. Oui car tu sais. Tu sais qu’elle ne fait pas ça pour te remplir de joie. Tu sais qu’elle fait ça pour combler ce complexe d’infériorité qui la ronge. Tu sais qu’elle le fait pour accrocher à ta jambe un boulet dont jamais tu ne pourras te défaire. Alors oui tu refuses. Tu refuses de rentrer donc son jeu. Tu refuses de lui donner satisfaction. « Désolée mais je ne voudrais pas que tu développes un complexe d’infériorité envers ton propre enfant... » Des mots que tu prononces en la regardant, elle et personne d’autre. Tu es mauvaise, tu en as parfaitement conscience, mais son air satisfait te met hors de toi.  Tu pourrais continuer mais tu es coupé dans ton élan par le « Giulia basta così è tua sorella ! » que prononcent tes géniteurs à l’unisson. Tu secoues la tête. « Quoi ? Oh ! Je ne devrais rien dire sous prétexte qu’elle est ma soeur ? » Tu rigoles. « Je devrais donc tout accepter parce qu’elle ma soeur ? Je devrais faire passer mon bonheur après le sien parce que c’est ma soeur ? Désolée mais non. Je ne le ferais pas. » Tu es en rage. Ils te poussent tous à bout. Jamais tu n’aurais pensé que tes propres parents puissent aller contre ta volonté. Tu soupires lourdement, plantant tes ongles contre tes paumes. Ils te révoltent tous. « Mais vraiment soyez heureux hein ! »  Cette fois tu t’adresses aussi bien à l’une, qu’à l’un. Finalement ça aura été bien le temps que ça aura duré. Un temps que tu auras tout le temps de regretter plus tard. Pour le moment tu ne veux plus voir personne, alors tu quittes cette pièce, tu quittes cette maison en un violent claquement de porte...
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MessageSujet: Re: (giulia, kingsley) tous en scène.   (giulia, kingsley) tous en scène. EmptyMer 25 Mar - 19:41


Pour la première fois depuis bien longtemps, tu sens la situation te glisser des mains. Coincé entre ce que tu dois être, et ce que tu voudrais réellement être, tu ne sais plus comment gérer la situation. Tu es mis à sourire bêtement, comme un robot qui se mettrait sur son mode le plus facile, tu ne veux pas faire empirer la situation dans une famille qui n’est tienne qu’à cause d’un mariage. Tout s’envole en des milliers de fragments, la scène qui s’offre face à toi, tu en est la cause. Parce-que les deux sœurs se détestent, mais tu as encré un peu plus de haine en partageant le lit de chacune d’elles. Tu te sens coupable, et à la fois, trahi par une femme qui décide de ton futur sans te consulter. Tu fais le choix de te taire, lorsque tout éclate. Ta femme reste stoïque, mais commence à enrager une fois que sa sœur quitte la pièce. Tu te retrouves dans une ambiance, que tu as toujours voulu éviter, le choix impardonnable. Tu fais le putain de choix, de devoir choisir en ce moment même l’une des deux sœurs. Tu embrasses la joue de ta femme, lui rappelant a quel point il ne faut pas qu’elle s’énerve, tu tentes du mieux que tu peux de la soulager. Tout le monde semble hésiter, et personne ne vient à soutenir Giulia. Tu recules, prétextant n’importe quoi, que tu dois aller voir Giulia pour apaiser la situation. Tu quittes finalement rapidement la maison, te libérant de certaines chaînes. Tu cherches, affolé la demoiselle. Que tu retrouves très vite, et c’est sans réfléchir que tu vas à elle, parcourant la distance qui vous sépare en un temps record, tu l’arrêtes dans ses pas, retenant tout son corps pas son bras. « Giulia ! Arrête-toi ! » tu sais qu’elle est indomptable, tu sais que ton acte est déplacé en ce moment-même. Mais tu t’en moques. Cachés de la vue de la famille Di Marzo, tu ne réfléchis plus, a ce que tu dois être. Tu paniques, mais pas pour toi. Tu vois bien que la demoiselle ne va pas bien. « Je suis désolé… Désolé de ce qu’à pu dire Petra, mais s’il te plaît, ne me met pas dans le même panier ! » Tu finis par lâcher l’étreinte forcée, qui jusqu’ici la retenait. Tu te mets à ses côtés, cherchant à tout prix à calmer celle qui te fait face. « Giulia, sans toi je suis rien, tu comprends ? » un cri de cœur, tu te sens dans une impasse. « Tu ne peux pas décider toute seule de tout foutre en l’air ! » parce-que tu le sens venir, tu sais qu’elle va mettre fin à tout. Elle est importante pour toi, mais tu respecterais chaque choix qu’elle fait, même si celui-ci est de ne plus jamais te voir. Mais tu ne peux pas changer ton monde pour elle, tu n’en es pas capable aujourd’hui. Parce-que votre relation est basé sur quelque chose de fragile, rien de concret, aucun de vous d’eux n’est sûr de ce que l’autre est, pour soi. Tu soupires finalement, une force qui te quitte, tu ne peux plus rigoler, plus rien ne doit être prit à la légère. On parle ici d’un enfant. Dont tu n’étais pas au courant, jusqu’aujourd’hui. « Laisse-moi venir chez-toi, qu’on en parle… » tu ne fuis pas le regard de la sicilienne, au contraire, tu ne seras pas lâche, pas avec elle.

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MessageSujet: Re: (giulia, kingsley) tous en scène.   (giulia, kingsley) tous en scène. EmptyVen 27 Mar - 17:02

outfit + Tu ne réfléchis plus. Non, tu n’y arrives plus. Tout ce que tu peux faire, tout ce que tu arrives c’est te laisser aller à cette rage qui te consume. Alors dans cette rue, tu pestes, tu rages - contre toi, contre elle, contre lui. Tout part à vau-l'eau, tout semble t’échapper, et cela te rend folle. Folle de ne pouvoir rien faire, rien d’autre que subir la situation. Tu ne contrôles plus rien, et c’est un enfer. Un enfer dans lequel tu ne veux pas vivre. Alors oui, tu fulmines, tu t'énerves, et tu soupires lourdement. Jusqu’à ce contact, cette sensation de prise sur ton bras. Tu l’entends, et tu le reconnais. Que peut-il bien faire ici ? Tu l’exècres de t’avoir rejoint. Pourquoi ? Il n’a rien à faire ici. Sa place n’est pas à tes côtés. Tu secoues la tête. Tu le regardes, tu l’écoutes mais ses paroles ne percutent pas. Tu ne le comprends pas. Pourquoi te dit-il tout cela ? C’est incompréhensible. Ne devrait-il pas être le plus heureux, le plus comblé de cette nouvelle ? Il lâche ton bras, et le laisse retomber mollement. « Dit pas de conneries Kingsley ! » Tu hausses le ton. Tu le hais. Tu le hais de le trouver ainsi face à toi. Tu le hais de te mettre dans une telle position. Il n’a pas le droit. Il n’a pas le droit de venir en rajouter. Tu le repousses.  « T’as rien à foutre ici ! » Tes billes sur lui sont noires. Malgré toi tu lui en veux. Tu lui en veux parce qu’il t’a rendu faible. Tu continues de le pousser.  « L’enfant qu’elle porte à pris la décision pour nous Kingsley ! »  Comment peut-il être à ce point aveugle ? Comment ne peut-il pas voir ce qu’il est en train de se jouer sous vos yeux ? Idiot qu’il est. Que représente votre relation face à celle qu’ils partagent ? Rien. Du moins rien d’autre qu’un simple amusement. Oui un bon amusement qui aura duré, longtemps. Peut-être trop finalement.  « Parler de quoi ? Il n’y a rien a dire ! Tu vas être père. Tu vas avoir un putain d’enfant. » Tu soutiens ce regard qu’il te porte, tandis que tu t’écartes de lui.  « Le seul truc que l’on peut se dire c’est au revoir. » Tu n’en as pas envie. Vraiment pas. Pourtant tu sais que c’est la chose à faire. La meilleure chose en fait - malgré ta soeur, malgré tes sentiments. Le perdre ne te fait en rien plaisir. Lui dire adieu non plus.  « Retourne auprès d’elle Kingley. Tu n’as vraiment rien à faire auprès de moi. Soyez heureux vraiment. Soit heureux. » Tu t’écartes un peu plus de l’homme. Tu affiches sur tes lèvres un dernier sourire. Tu as mal. Tu souffres, mais tu ne veux pas lui montrer. À quoi bon ? Cela ne ferait que le retenir ici, qu’à tes côtés…

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MessageSujet: Re: (giulia, kingsley) tous en scène.   (giulia, kingsley) tous en scène. EmptyVen 27 Mar - 17:22


Tu finis par comprendre, tant bien que mal, qu’aujourd’hui tu ne pourras pas discuter avec elle. Ce sont dans ses moments-là, que tu aurais bien besoin qu’elle soit ouverte à toi, mais tu ne peux rien y faire. La différence entre ta femme et sa sœur est donc bien flagrante, quand tu as besoin de discuter dans les moments compliqués. Tu soupires, te laissant bousculer mentalement, tu fais face à elle, tu es Singh, tu n’as jamais failli devant quelqu’un. Mais aujourd’hui, tu es bien obligé de faire un retour en arrière. Tu ne sais pas comment seras votre avenir, est ce que la demoiselle saura contourner la nouvelle et garder son calme à ta vue. Tu comprends aussi, que désormais, tous les dimanches risquent d’être piquants, brûlants comme de la lave. Tu es peut-être fautif, tu n’aurais jamais dû tomber dans ses bras, et inversement. Mais c’est chose faite, et tu n’es pas du genre à renoncer pour si peu. Bien sûr, la nouvelle te fait un réel « boum » intérieur, tu as l’impression de quitter la terre ferme. Mais la seconde partie est autre. Tu seras un bon père, tu as mis enceinte une femme, qui plus est, est la tienne, alors tu assumeras. Quitte à abandonner tes plaisirs charnels avec la femme qui te fait face, le visage en peine, très certainement le cœur meurtrit. Tu ne peux plus rien faire aujourd’hui. Alors tu soupires, tu campes sur tes positions, tu voudrais lui faire du mal, mais tu ne pourrais jamais dépasser les intentions mal placées de sa sœur ainée. Tu n’es pas fort quand il s’agit de faire du mal volontairement. Alors tu dois la laisser partir, en espérant qu’elle reviendra à toi l’esprit tranquille. « Soit. » dis-tu simplement, reculant. Tu vas désormais arrêter de lui courir après, c’est qu’elle ne devait pas tant que ça tenir à toi.

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