VICTOIRE DE LA SALLE ♥ Au mieux, t'es à moi, sauf à tout le monde. Au pire, t'es à tout le monde, sauf à moi.

We want to know about your life.

CHAPITRE PREMIER : Au détour, de l'imposante, cage d'aciers. De la Tour Eiffel, magnifiquement, représentée, tu vis le jour, entre tes yeux mi-clos, lors de la fête, dite, nationale, de la fête des amoureux. Le fameux Saint Valentin, qui détourne, fait chavirer les cœurs... Dans la capitale, même, de la France... En leur âmes éblouies, détonantes, tu fusses, envoyer du ciel, tel un ange. Pour arracher les tourments, de tes chers et amants parents, qui eussent, fort bien du mal, à t'avoir. Te mettre au monde. Suite aux fausses couches accumulées, tu détiendrais la clef dorée, de leurs enivrantes passions. Tu auras un lien, on ne peut plus fusionnel, soudé... Tu aurais une forte personnalité, qui dépeindrait, briserait à jamais, l'étiquette... Le protocole, de votre immense lignée. Issue, de la royauté. Aux gènes, incommensurables, de Louis XIV.

CHAPITRE DEUX : Ne demeurant que trop jeune, pour en saisir l'essence même, de ces quelques paroles... De ces actifs, se calculant en milliard d'euros... Âgée, seulement, de six ans, toi, tu rêvassais, d'un avenir radieux, florissant. Entretenant un carnet de croquis, tu te nourrissais, te complaisais, à l'idée, de devenir une architecte, de grande renommée... Les plans, tu t'y connaissais... Cette intelligence, tu l'as cultivée, d'emblée. Tu étais déterminée, c'est ce que tu ferais. Tu voulais, par ailleurs, en faire la fierté, de tes chers parents. Hélas... Ils ne seraient plus guère présents. Ne répondront à l'appel. Car, tel le clairon glacé, ils périront, dans un tragique accident d'avion, qui imploserait, en plein vol. Alors, qu'ils s'étaient rendu, pour quelques affaires de diplomatie. Seuls, les titres de noblesses, les actifs... Leur chauffeur attitré, un long pendentif, aux design raffiné. Des sommes astronomiques. Leur nom, que tu conserverais, dignement, te reviendraient, de plein droit. Bien, que tu serais, bel et bien, livrée à toi-même, désormais...

CHAPITRE TROIS : C'est un charmant, séduisant, jeune homme, répondant au doux nom de Russel McAdams. Un ami de longue date, qui se voulait, des plus proches, de ta défunte famille, qui se proposait, ainsi, de te prendre sous son aile, sous ses responsabilités. Il te protégerait, envers et contre tous. Contre vents et marrées. Quitte à, délibérément, préserver, ta véritable identité. Tout ton héritage, pour ne point demeurer à la merci, des médias. Des nombreux paparazzis. Désirant, ardemment, que tu conserverais une vie douce et paisible. Une existence salvatrice, que tu entendrais profiter, quoi qu'il t'en fusse. Avec l'approbation de ce dernier. Sans lui, tu ne sais, ce que tu serais. Bien, que, tu seras proche de lui. Que tu verrais, en ce bel apollon, charismatique et tendre, un semblant... Une figure emblématique, d'un second paternel. Qu'il te chérirait, à son tour, telle une princesse, tu ne seras, à même, d'évoquer tes émotions, tes lancinants sentiments, à l'égard de tes parents biologiques... Bien malgré toi, tu commenceras à te forger, ta propre personnalité. Ta carapace, que, pour rien au monde, tu n'oserais guère, brisée. Tu glisseras, bien malgré toi, dan un trou noir et béant. Ce sera un vide, un morceau de glace, à la place du cœur. Adieux les gestes d'affections, les idées de candeur - cela sera un vide, incommensurable, qu'hormis, lui, et quelques proches, n'arriveront à comblés. Sans nul doute plausible, que, c'est de par cette origine, de ce fait, que tu deviendras intraitable. Arrogante, des plus viles. Manipulatrice, envers les petites gens... Une histoire, une cicatrice, que tu ne sauras comment, réellement, pansée. Refermée...

CHAPITRE QUATRE : Ton enfance se déroulait dans la plus belle des harmonies. Aucun incident, particulier, n'en vinrent à te troubler. Te tourmentait... Tout semblait te sourire. Tout ce que tu entreprenais se réaliser, se concrétiser. Tu avais de belles notes. Tu étais une élève modèle, cultivée. Tu as de l'or, dans tes petits doigts de fées. Pourtant, tu resteras, encore et toujours, une insatisfaite, de la nature sauvage, irréelle... Te montrant des plus durs, à ton propre égard, tu t'avoueras, encore et toujours, au fond de ton être, de ta frêle silhouette, que tu pourrais faire bien plus - bien mieux que cela, encore... Même quand tu atteindras la majorité. Que tu auras une certaine notoriété, d'immenses responsabilités, tu ne changeras cet attrait agaçant, de ta personnalité. Tu te veux minutieuse, ambitieuse. Une rigoureuse perfectionniste.

CHAPITRE CINQ : De par tes nombreux projets, tes grands dessins... De la carrière prometteuse, de ton père adoptif, que tu aimes, plus que de coutume, que de raison. Sans la moindre condition, tu as résidé, en sa charmante compagnie, plus ou moins, durant de longues années, dans de grandes nations. De belles cités métropolitaines, telles que : Lisbonne, Madrid, Londres, Rome. Tu as su, parfaitement, t'adapter, par ailleurs ! Sans nul doute, est-ce pour cette raison, que, tu es d'une nature, volontairement, curieuse. Aventurière. Tu sais, pertinemment, parfaitement, te fondre dans la masse. T'accoutumer, aux traditions. Tu raffoles, même, des spécialités locales, de la haute gastronomie, ainsi que de la mode, dont tu es toujours à la pointe raffinée ! Mais, tu auras un véritable coup de foudre, pour l'architecture. La capitale, même, de l'Angleterre. Il t'est cher, en ton âme esseulée, parfois, même, brisée... Et, tu en as conscience, tu te revendiqueras, comme tel ! Qui plus est, c'est en ces vastes contrées, de pavés, que tu feras la douce rencontre, d'une jeune et jolie petite rousse, qui deviendra, bel et bien, rapidement, ta meilleure amie. Il n'y aura qu'avec elle, que tu sauras, réellement, être toi-même. Où, tu ne seras guère effrayée, à l'idée de partager tes rêves les plus fous, tes angoisses. Tes joies, tes rancunes. Tes peines passagères. Sans prendre le moindre risque, d'être jugée, en permanence. En totale constance... Vous serez liées, à jamais, comme les doigts délicats, d'une main. Quoi qu'il en fusse, vous pourrez, à jamais, compter, l'une sur l'autre.

CHAPITRE SIX : Une année écoulée, parmi tant d'autre. À travers ce sablier, qui marque ton apogée... Alors, que l'été battait la mesure, aux rythmes de la symphonie, d'un mariage organisé. Aux tons doux, épurés. Du haut de tes quatorze ans, tu profitais de ces belles vacances, fort bien méritées... Flânant aux côtés, de ta meilleure amie, à travers, les murs boisés, d'un labyrinthe enchanté... Voilà, qu'en gagnant le chemin, de la liberté. De la récompense envisagée, vous en furent arrivées, au point d'accès. Tombant, sur une fontaine imposante, mystique. Usée, par les âges du temps. Mais, qui, pourtant, une légende prônait... La jolie rousse, te comptait, dont, que, si tu glissais une pièce de monnaie, dans l'eau cristallisée. Que tu étais armé d'un miroir de poche... Te retournant, face à la roche accumulée, tu aurais l'occasion d'apercevoir l'ombre fantomatique, de ton âme sœur. Celle, dont ton existence salvatrice, serait liée, à jamais, à cette personne... Ne croyant point, à de telles sornettes. Restant, quelque peu, sceptique, face à cette troublante révélation, qui, pourtant, eussent avoir l'air de fonctionner, envers les membres de la famille, de la charmante demoiselle, voilà, que, bien malgré toi, elle te lançait le défi, de t'exécutais. Te certifiant... Te faisant la promesse solennelle, que tu n'aurais rien à y perdre, dans le cas contraire... Afin d'en être débarrassée, tu le relevais, de ta main délicate... Tu en fusses déroutée. Irrévocablement, chamboulée, lorsque tu découvrais, à travers les reflets scintillants, de ton fin miroir, une carrure, magnifiquement, élancée, athlétique. Une peau, légèrement, olivâtre, qui sans que tu n'en susses d'emblée, tu désirais, follement, effleurée, de tes petits doigts de fées... Un petit crâne, dénué de tout cheveux filasse. Des bras, tout durs, tout musclés, dont, tu rêvassais, à l'idée de t'y blottir, t'y serrer. Un mignon petit rictus, qui t'arracher, quelques doux frissons, qui parcouraient ton échine. Des iris, aux couleurs chatoyantes, dans lesquelles, tu t'y noyais, totalement... Ton rythme cardiaque, cognant... Tambourinant, sensiblement, dans ta cage thoracique, tu te doutais, que la légende n'était que pure vérité - vérité, qui t'effrayais, telle une chouette, prise dans les phares d'une voiture. D'une cage d'aciers... Tu ajoutais, dont, à ta meilleure amie, que tu n'avais rien vu de tel... Posant un voile carmin, sur tes orbes d'émeraudes. Lui soufflant, que, de tout cela, elle avait dû se fourvoyer... C'est pourquoi, elle s'attela, a la fervente tâche, de jouer les entremetteuses, désormais... Elle serait ta coach attitrée, pour te trouver ton prince charmant, ta perle rare et nacrée, qu'au fond de ton être, de ta frêle silhouette, tu redoutais, ardemment, de trouver... Les belles romances, ce n'était guère pour toi. Tu te le savais...

CHAPITRE SEPT : Bien, que, tu sois une jeune femme passionnée, par les études. Ta future carrière, que tu allais instaurer, divinement. Te faire un nom, divinement. Te poser en maître conquérant... En parallèle, tu es plutôt une personne, qui a besoin de bouger, constamment. L'adrénaline, pour toi, c'est comme une dose d'héroïne, tu ne peux t'en passer... Aussi longtemps que tu te connaisses, désormais, tu n'es guère effrayée, par beaucoup de choses, en réalité... Sans être une suicidaire dans l'âme, tu aimes l'apesanteur, le vide intersidéral. Tu es prête à relever tous les défis, tels que sauter en élastique, du haut, du plus grand gratte-ciel du monde. Un immense toboggan. Sauter d'une falaise, s'écrasant, contre de sombres rochers. Enfouis, dans les abysses profonds. En contre-bas... Tu ne sais te retenir, il est vrai... Tu as besoin de cela, pour décompresser. Te sentir vivante, épanouie, qui plus est... Et, bien que ton cher Russel, te laisse vivre ton existence, paisiblement... En revanche, cela, ça lui fait toujours grincer des dents... Sans nul doute plausible, que tu y as contribué au fait, qu'il est les cheveux grisonnants... Si tu l'écoutais, il t'attacherait, bien volontiers, afin de ne pouvoir te hâter, pour ce genre de loisirs, particuliers...

CHAPITRE HUIT : Alors que les premières lueurs, de ce soleil ardent, pointait, sur l'horizon bleuté. Réchauffant ta douce peau de nacre... Étant, sagement, emmitoufler, dans ton chaud duvet. À mesure, qu'à tes orbes d'émeraudes, toisait le carrelage glacé, tu te certifiais, de passer une agréable journée, en compagnie, de ton paternel. Mais, quand il t'avoua, promptement, la vérité... Ayant atteint l'âge légal. Du moins, selon la loi française, tu te devrais, désormais, d'en acquittait, endosser, tes responsabilités... Ainsi, il t'annonçait, que tu étais l'unique héritière, de nombreux actifs, aux sommes mirobolantes, astronomiques. De titres royaux... De biens, qui, sur l'instant présent, ne te laissais guère de marbre... Si ce n'est l'idée, que tu te sentais, affreusement, sonnée. Mis sur le bas-côté... Sur le coup, tu ne pusses t'empêcher de laisser s'échapper, de tes lèvres, non maquillées, un léger rire, presque nerveux. Songeant, davantage, que ce dernier s'amusait à tes dépens. En vain... Lorsque, tu le remarquais... Qu'il ajoutât, qu'il était sérieux. Te montrant, dans la volée, tout ceci, sur le blanc papier. Preuve évidente, lancinante, tu n'en fusses, que choquée, froissée, il est vrai. À un point tel, que tu t'enfermais, finalement, dans ta salle d'eau. L'évitant... Sa présence te contrariée, plus que la nécessité. Ainsi, durant plusieurs jours durant, tu restais cloitrée, dans le silence le plus total, le plus complet. Te refusant, catégoriquement, de fêter ton jour de naissance...

CHAPITRE NEUF : Tu ne sais guère pour quelle raison, mais cela avait sonné, telle une trahison, en ton âme effilochée. Sans nul doute, la seconde, qui t'en fusses, davantage, terrible, à encaisser. A assimilée, après le décès de tes parents aimants... Toutefois, tu es connu, pour ton côté irascible, impulsif. Ton charmant Russel, le savait fort bien, malgré l'idée, qu'il fit tout, pour s'exécutait. Pour se faire, aisément, pardonner. Ton côté rancunier, n'aurait pu, l'aider davantage, également, à passer outre, cette animosité. Mais, au fond de ton être, tu ne pouvais le blâmer. Il n'était point coupable, de tous ces faits. De t'avoir avoué, cette troublante vérité. Il songeait bien faire, t'avait protégé, envers et contre tous. C'est pourquoi, tu fournisses, quelques semaines plus tard, il est vrai, de trouver grâce, à ces orbes caramélisés. Tu lui fisses, par ailleurs, la promesse solennelle, de ne plus guère le tourmenter ainsi. Que, quoi qu'il en fusse, tu le soutiendrais. L'aimerais toujours. Prenant le tout - toutes tes responsabilités. Ton héritage décuplé.

CHAPITRE DIX : De nombreux diplômes, prônant, fièrement, à travers les placos des murs, d'un blanc immaculé. Après avoir bataillé, férocement. Défendre ton bout de gras, tel un félin... Au détour d'un carrefour, voilà que tu as pu, finalement, te démener, pour trouver ta voix, ton enivrante passion, que tu as toujours cultivée, depuis ta plus tendre enfance, il est vrai. Devenant, une architecte de renommée, tu as pu, dans les premiers temps, échafauder tes plans. Répondre à quelques clients, pour lesquels, tu désirais, ardemment, trouver grâce à leurs orbes chatoyants. Tu as débuté ta carrière, forte prometteuse, dans des structures publiques. Afin, de te forger une belle petite réputation. Le bouche à oreille, n'en a fait qu'un tour, bien rapidement. Irrémédiablement. Mais, depuis trois ans, désormais... Avec tes bons revenus, tu es devenu ta propre patronne. Tu construis en ton nom, réponds aux besoins de tes fidèles invités. Passant, quelques fois, même, aux devant de quelques émissions. Un rêve concrétisé, que tu as pu matérialiser, finalement, aux dépens de quelques embûches, que certains petites gens, se sont amusés, à te démoraliser. T'humilier. Toi, avec ton caractère, des plus trempés, tu as su t'imposer, en maître conquérant, dans cette profession. Ignorant, royalement, leurs médisances, leurs conditions... Toutefois, n'ayant guère connu, autre chose, que cela, tu te montres irascible, intraitable, envers tes propres employés. Tu désires, seulement, que tout demeure parfait... Il ne te reste plus, qu'un nouveau sens, un nouveau but, à te trouver...

CHAPITRE ONZE : Tu l'avais, follement, songer... C'était un non, catégorique... Sous des regards outrés, nostalgiques, tu l'avais, inlassablement répété, tel un petit perroquet, à ta meilleure amie... Les douces histoires de romances, ce n'était guère pour toi... Elle avait eusse, bel et bien, te lançais des défis, que tu relevais, rien que pour trouver grâce, à ses iris bleutés... T'incitant, même, à utiliser des applications, des sites de rencontres... Les relations sérieuses, amoureuses, tu n'en es point douée... De cela, tu le certifiais... De toute manière, ta réputation de femme dragon, tes petites manipulations, ne t'aidait, plus que cela, à trouver l'âme sœur... Tu aimais enchaîner les relations, sans lendemain. Valsant de paires, à d'autres bras musclés, tu restais sceptique, il est vrai... Tu apprécies l'idée de séduire, de draguer... Mais, quand les sentiments, prennent une ampleur, une proportion, beaucoup plus importante, dangereuse, tu fuis, au demeurant... Dans le fond, c'est tout con, mais, s'il y a bien des choses, pour lesquels, tu n'es guère effrayée, comme une petite chouette, prise dans les phares d'une voiture. D'un cage d'aciers, en revanche, de cela, tu en perds la raison - t'as peur de l'échec, du refus. Parce que, tu le sais, pertinemment, on ne t'aime, pour ce que tu es, réellement. On te croit insensible, dénués de tout sentiment. Parce que, t'es accablée, par les journaux, les médias. Que tu as de beaux comptes en banques... Tu n'es, jamais, tombé amoureuse, certes. Mais, tu ne veux guère de cela... Parce que, pour toi, les hommes sont, presque tous pareils... Tu ne veux te bercer d'illusions amères. Parce que, les sentiments, les séduisants apollons, tu les crois profonds, sincères, de surcroît, et ils sont soumis à une jupe, qui passe. Un sourire enjôleur... Des gens, qui s'aiment pour la vie, dans le fond, t'en connais point...

CHAPITRE DOUZE : Tu ne sais guère que tu viens de rencontrer l'amour... Le seul, le vrai. L'incendiaire... Celui qui illumine une vie. Éblouit les âmes, dans une douce lueur... Tu t'étais faite, pourtant, la promesse solennelle, de ne point tomber dans le piège. De ne guère donner ton cœur, pour qu'on puisse le mettre au supplice... Sans que tu n'en saches guère, plus que de raison, celle-ci te fuit, sans contrition. Te damnant, dans la volée... Parker Barnes. Tel est son petit nom... Cet homme charmant. À la beauté enivrante, tapante. Sa douce peau, légèrement, olivâtre, dont tu souhaiterais, tant, effleurer, caresser, de tes petits doigts de fées. Ses bras, tout durs, dans lesquels, tu désirais, ardemment, t'y blottir, te serrer. Ses orbes caramélisés, dans lesquels, tu ne cesses, irrémédiablement, de t'y noyer. Son doux sourire, qui réussissait à t'anéantir. Tu es folle à lier - folle de lui. De cela, tu n'en doutais... Ton aimant paternel, te l'a présenté, il y a un moment. Ajoutant, qu'il l'avait recruté, en tant que directeur de la sécurité, du consulat de Toronto. Ville Canadienne, dans laquelle, vous résidiez, depuis quelques longues années, désormais... Depuis, tu ne cesses de le croiser, de le charmer. Bien, que, tu as parfaitement, conscience, que, si Russel, découvrait la vérité, que tu tournes, autour de ce grand baraqué, il ne l'apprécierait, d'emblée... Tu te doutes, pertinemment, que tu ne devrais t'exécutais... Attraper, attirer, ce séduisant Hawaïen, dans les mailles de ton filet. Mais ce fusse, bien plus fort que toi... Lui, il te plait. Te fais vibrer, rêvasser. Tu joues à un jeu dangereux... Cela t'excite, autant que tu es effrayée... Car, certes, tu serais prête, à tout tenter, pour demeurer à ses côtés. Vivre une belle romance, un doux conte de fée. Tu voudrais te sentir bien, heureuse. Épanouie... Non pas, parce que tu l'avais aperçue, dans les reflets, de ton pâle miroir. Qu'il était ton âme sœur... Bien au contraire... Mais, dans tout cela, tu es perdu... T'as peur du refus - peur que cela ne soit sincère, à contre sens. Que tu te sentes rejetée, incomprise... Tu n'oses point lui avouer, tout cela... Car, c'est bien la première fois, que tu agis, ainsi... Parce que, tu ne veux guère tout envoyer valser. Tout faire foirer... Parce que, tu ne te considères, point, assez bien, à ses iris chatoyants... Tu ne sais, combien de temps, encore, tu porteras ce voile carmin, sur ton doux visage de poupée... Et si ce n'était qu'une ombre, une simple et vile pensée, qu'il pourrait aimer ? Si, dans le cas contraire, tu te décidais, à sauter le pas... Dans le vide, sera-t-il paré. Prêt, à s'engager ? À te prendre, en entier ? Avec toutes tes joies, tes angoisses... Ton caractère trempé ? Demeureras-tu, à la hauteur de ses espérances ? Et, si de tout cela, tu étais, tout simplement, bernée... Aveuglée ?

pseudo/prénom :copyright:️ FLEUR DE GLACE. âge 25 bougies. d'où viens-tu? France, pays du fromage, du vin et du béret. comment tu as trouvé notre petit forum ? J'y étais déjà dessus, en tant que Kayleigh. Alors... C'est pas bien compliqué ! :p au premier coup d'oeil? Il est tellement magnifique, doux, épuré, que je n'ai pas voulu y revenir ! XD autre ? Je l'aime, mon gros chauve et baraqué.

Code:

<taken>Amber Heard</taken> ⋆ <name>victoire de la salle</name>